Poitrine glorieuse, ell' brandit l'étendard
Piétinant les cadavres qui forment un rempart
Escortée d'un Gavroche aux gestes menaçants
La foule est belliqueuse, prête à verser le sang

''Le Fifre'' d'Édouard Manet

''L'Enlèvement des Sabines'' de Nicolas Poussin

''La Liberté guidant le peuple'' d'Eugène Delacroix

Le saule fond en larmes sur des fleurs aquatiques
Piquetant le plan d'eau sous un pont japonais
La gent batracienne trouve l'endroit magique
Un tel tableau c'est sûr, ça vaut de la monnaie !

''Le Bassin aux nymphéas'' de Claude Monet

''Printemps'' de Giuseppe Arcimboldo

''Le Déjeuner des canotiers'' d'Auguste Renoir

Les soldats alignés ont relevé leurs armes
Chemise blanche ouverte sur son coeur qui palpite
Les bras levés en V ; pas de cris pas de larmes
L'Ibère se libère car la mort viendra vite

''Méduse'' de Le Caravage

''Tres de mayo'' de Francisco Goya

''Le Sacre de Napoléon'' de Jacques-Louis David

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Tout près de la brouette, ell' pose son panier
L'homme tient son chapeau, il a planté sa fourche
Ils ont perçu l'appel du clocher éloigné
Dieu seul entend les mots que murmurent leurs bouches

''L'Angélus'' de Jean-François Millet

''L'Église d'Auvers'' de Vincent van Gogh

''Les Noces de Cana'' de Paul Véronèse

Les corps agonisants reposent sur les planches
La pyramide humaine agite étoffe blanche
Un homme à la peau sombre regarde à l'horizon
Quand les secours viendront auront-ils leur raison ?

''La Tour de Babel'' de Pieter Brueghel l'Ancien

''Le Portement de croix'' de Jérôme Bosch

''Le Radeau de la Méduse'' de Théodore Géricault

Sortant d'une coquille, sa peau blanche elle expose
Masque sa nudité de ses longs cheveux roux
Aux dieux éoliens ; dans une pluie de roses
La beauté callipyge arrive parmi nous

''La Danse'' d'Henri Matisse

''La Naissance de Vénus'' de Sandro Botticelli

''Femmes de Tahiti'' de Paul Gauguin

On imagine bien que sa mort fut épique
Quand la Camarde vint, il était porc-épic
Van Damme eut dit de lui : ''Y'a des flèches in his flesh !
You should l'aimer tender, because I love him trou.''

''La Laitière'' de Johannes Vermeer

''La Ronde de nuit'' de Rembrandt

''Le Martyre de Saint-Sébastien'' d'Andrea Mantegna

Le bras de l'homme mort tient un glaive brisé
Des femmes disloquées, jument martyrisée
Sur l'enfant immolé, un cri de mèr' résonne
L'arrogance est taurine, la barbarie teutone

''Guernica'' de Pablo Picasso

''L'Inondation de Port-Marly'' d'Alfred Sisley

''Les Ménines'' de Diego Vélasquez

Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, cette peinture envoûte
Le barbu tend la main vers celle de l'homme nu
Son index le touche et le tire des nues
Il dit : ''Au fait, ma femme, tu y as pensé sans doute ? ''

''Pierrot'' d'Antoine Watteau

''La Création d'Adam'' de Michel-Ange

''Bal au Moulin Rouge'' d'Henri de Toulouse-Lautrec

La forêt luxuriante sur le mont vénusien
Surplombe le canyon, fêlure congénitale
Deux collines gonflées qu'on caresserait bien
Merveilleux paysage qui ravit tous les mâles

''L'Origine du monde'' de Gustave Courbet

''La Montagne Sainte-Victoire'' de Paul Cézanne

''La Plage de Trouville'' d'Eugène Boudin

1er	Lucade1993	100% 9s
2ème	Veargon	100% 14s
3ème	Victor13010	100% 16s
4ème	Lescarien	100% 22s
5ème	Mourad68131	100% 23s
6ème	EUGOR	100% 29s
7ème	Farfan64	100% 29s
8ème	Cacao13	100% 30s
9ème	Fahrenhheit	100% 30s
10ème	Hermione.grandger	100% 30s

Quiz Alexandrins : Tableaux célèbres

Poitrine glorieuse, ell' brandit l'étendard
Piétinant les cadavres qui forment un rempart
Escortée d'un Gavroche aux gestes menaçants
La foule est belliqueuse, prête à verser le sang

Le saule fond en larmes sur des fleurs aquatiques
Piquetant le plan d'eau sous un pont japonais
La gent batracienne trouve l'endroit magique
Un tel tableau c'est sûr, ça vaut de la monnaie !

Les soldats alignés ont relevé leurs armes
Chemise blanche ouverte sur son coeur qui palpite
Les bras levés en V ; pas de cris pas de larmes
L'Ibère se libère car la mort viendra vite

Tout près de la brouette, ell' pose son panier
L'homme tient son chapeau, il a planté sa fourche
Ils ont perçu l'appel du clocher éloigné
Dieu seul entend les mots que murmurent leurs bouches

Les corps agonisants reposent sur les planches
La pyramide humaine agite étoffe blanche
Un homme à la peau sombre regarde à l'horizon
Quand les secours viendront auront-ils leur raison ?

Sortant d'une coquille, sa peau blanche elle expose
Masque sa nudité de ses longs cheveux roux
Aux dieux éoliens ; dans une pluie de roses
La beauté callipyge arrive parmi nous

On imagine bien que sa mort fut épique
Quand la Camarde vint, il était porc-épic
Van Damme eut dit de lui : ''Y'a des flèches in his flesh !
You should l'aimer tender, because I love him trou.''

Le bras de l'homme mort tient un glaive brisé
Des femmes disloquées, jument martyrisée
Sur l'enfant immolé, un cri de mèr' résonne
L'arrogance est taurine, la barbarie teutone

Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, cette peinture envoûte
Le barbu tend la main vers celle de l'homme nu
Son index le touche et le tire des nues
Il dit : ''Au fait, ma femme, tu y as pensé sans doute ? ''

La forêt luxuriante sur le mont vénusien
Surplombe le canyon, fêlure congénitale
Deux collines gonflées qu'on caresserait bien
Merveilleux paysage qui ravit tous les mâles

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Poitrine glorieuse, ell' brandit l'étendard Piétinant les cadavres qui forment un rempart Escortée d'un Gavroche aux gestes menaçants La foule est belliqueuse, prête à verser le sang

Le saule fond en larmes sur des fleurs aquatiques Piquetant le plan d'eau sous un pont japonais La gent batracienne trouve l'endroit magique Un tel tableau c'est sûr, ça vaut de la monnaie !

Les soldats alignés ont relevé leurs armes Chemise blanche ouverte sur son coeur qui palpite Les bras levés en V ; pas de cris pas de larmes L'Ibère se libère car la mort viendra vite

Tout près de la brouette, ell' pose son panier L'homme tient son chapeau, il a planté sa fourche Ils ont perçu l'appel du clocher éloigné Dieu seul entend les mots que murmurent leurs bouches

Les corps agonisants reposent sur les planches La pyramide humaine agite étoffe blanche Un homme à la peau sombre regarde à l'horizon Quand les secours viendront auront-ils leur raison ?

Sortant d'une coquille, sa peau blanche elle expose Masque sa nudité de ses longs cheveux roux Aux dieux éoliens ; dans une pluie de roses La beauté callipyge arrive parmi nous

On imagine bien que sa mort fut épique Quand la Camarde vint, il était porc-épic Van Damme eut dit de lui : ''Y'a des flèches in his flesh ! You should l'aimer tender, because I love him trou.''

Le bras de l'homme mort tient un glaive brisé Des femmes disloquées, jument martyrisée Sur l'enfant immolé, un cri de mèr' résonne L'arrogance est taurine, la barbarie teutone

Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, cette peinture envoûte Le barbu tend la main vers celle de l'homme nu Son index le touche et le tire des nues Il dit : ''Au fait, ma femme, tu y as pensé sans doute ? ''

La forêt luxuriante sur le mont vénusien Surplombe le canyon, fêlure congénitale Deux collines gonflées qu'on caresserait bien Merveilleux paysage qui ravit tous les mâles

Poitrine glorieuse, ell' brandit l'étendard
Piétinant les cadavres qui forment un rempart
Escortée d'un Gavroche aux gestes menaçants
La foule est belliqueuse, prête à verser le sang

Le saule fond en larmes sur des fleurs aquatiques
Piquetant le plan d'eau sous un pont japonais
La gent batracienne trouve l'endroit magique
Un tel tableau c'est sûr, ça vaut de la monnaie !

Les soldats alignés ont relevé leurs armes
Chemise blanche ouverte sur son coeur qui palpite
Les bras levés en V ; pas de cris pas de larmes
L'Ibère se libère car la mort viendra vite

Tout près de la brouette, ell' pose son panier
L'homme tient son chapeau, il a planté sa fourche
Ils ont perçu l'appel du clocher éloigné
Dieu seul entend les mots que murmurent leurs bouches

Les corps agonisants reposent sur les planches
La pyramide humaine agite étoffe blanche
Un homme à la peau sombre regarde à l'horizon
Quand les secours viendront auront-ils leur raison ?

Sortant d'une coquille, sa peau blanche elle expose
Masque sa nudité de ses longs cheveux roux
Aux dieux éoliens ; dans une pluie de roses
La beauté callipyge arrive parmi nous

On imagine bien que sa mort fut épique
Quand la Camarde vint, il était porc-épic
Van Damme eut dit de lui : ''Y'a des flèches in his flesh !
You should l'aimer tender, because I love him trou.''

Le bras de l'homme mort tient un glaive brisé
Des femmes disloquées, jument martyrisée
Sur l'enfant immolé, un cri de mèr' résonne
L'arrogance est taurine, la barbarie teutone

Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, cette peinture envoûte
Le barbu tend la main vers celle de l'homme nu
Son index le touche et le tire des nues
Il dit : ''Au fait, ma femme, tu y as pensé sans doute ? ''

La forêt luxuriante sur le mont vénusien
Surplombe le canyon, fêlure congénitale
Deux collines gonflées qu'on caresserait bien
Merveilleux paysage qui ravit tous les mâles