Blagues en tous genres...

Il se promène dans les rues de New York dans sa petite voiture quand il dérape et vient tuer une vieille qui traversait la route.
Justice expéditive, condamné à la chaise électrique.
Le bourreau appuie sur le bouton, rien ne se passe, il est gracié.
Un mois plus tard, au volant d'un camping car, c'est quatre bonnes sœurs qu'il rafle sur le trottoir, recondamnation, rebouton, rerien, regracié.

L'année suivante avec le bus scolaire, il aplatit toute la classe, rebelote, jusqu'au moment où le bourreau lui demande :
-- "C'est pas possible, j'te fous du 100 000 volts et tu ne sens rien !
-- "Vous n'avez pas compris que j'étais mauvais conducteur !"

Il n'y a toujours eu et il n'y aura toujours qu'un Monsieur 100 000 volts !

» modifié le 1er février à 12h16 par Sijavaisujoraipavnu

 

C'est lui qui les développait ces 100 000 volts, il ne les recevait pas !

Ils se sont mariés à la fin des années folles (1929) et, au retour du voyage de noces, ont pris cette décision, normalement sans raison, de mettre un grain de riz dans une boîte, chacun la sienne, à chaque fois que l'un tromperait l'autre.
La vie se déroule tranquillement jusqu'en 1939 où la guerre appelle l'homme en tant que soldat, puis de prisonnier jusqu'en 1945.
La vie coule lentement et alors qu'ils approchent les 80 ans, ils décident d'ouvrir les boîtes et de compter les éventuels grains de riz.
Il ouvre sa boîte le premier et compte 3 grains, il est désolé mais la voisine était trop tentante.
À son tour, elle ouvre sur une boîte vide, plus encore il est désolé devant tant de chasteté, d'amour, de fidélité, il n'a plus les mots, alors elle lui dit gentiment :
--"Avec quoi j'ai fait tous les gâteaux de riz que je t'ai envoyés pendant la guerre !"

Excellent.

2 prostituées s'engueulent sur le trottoir, en quoi tourne leur algarade ?
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Elles se disputent !

Mon fiancé dit à tout le monde qu'il va épouser la plus belle fille du monde...
Oh! le lâche! Vous laisser tomber après vous avoir fréquentée si longtemps!

Il se promène dans les rues de Paris dans sa petite voiture quand il dérape et vient tuer une vieille qui traversait la route.
Justice expéditive, condamné à la guillotine.
Le bourreau tire sur le levier, la lame s'arrête juste au niveau du cou, il est gracié.
Un mois plus tard, au volant d'un camping car, c'est quatre bonnes sœurs qu'il rafle sur le trottoir, recondamnation, relevier, rerien, regracié.

L'année suivante avec le bus scolaire, il aplatit toute la classe, rebelote, jusqu'au moment où le bourreau lui demande :
-- "C'est pas possible, à chaque fois que tu viens, je fais e qu'il faut et rien ne se passe, la lame s'arrête juste à temps !
-- "Vous n'avez pas compris que j'étais pas coupable !"

Une Renault 5 des ponts et chaussées s’arrête sur une petite route de campagne suivie de peu par une fourgonnette cinq hommes descendent du fourgon et l’un d’eux s’adresse au chef dans la R5 :
– Chef on a oublié de prendre les pelles.
– Vous faites chier les gars. Attendez, je téléphone au dépôt. Le chef prend son combiné dans la voiture :
– Allo Marcel. Dis donc, il te reste des pelles au dépôt.
– Oui, répond le gars à l’autre bout du fil, il t’en faut combien ? Alors le chef se retourne vers le fourgon:
– Combien vous êtes ?
– Cinq ! répondent les autres.
– Cinq reprend le chef au téléphone.
– OK, lui dit le gars du dépôt, tu les auras cet après midi.
– OK. Salut. Et il raccroche. Le chef se tourne a nouveau vers les gars :
– C’est bon on aura cinq pelles cet après midi.
– Ben chef qu’est ce qu’on fait en attendant ?
– Je ne sais pas moi. Appuyez-vous sur autre chose.

Bravo, Cactus.

Restons sur la guillotine :

La veuve est remontée et installée place de Grève, arrive la charrette avec ses condamnés.
On installe le premier candidat au raccourcissement, la lame descend et se bloque au moment de trancher le cou.
On crie au miracle, le supplicié est gracié.
Au suivant, mise en place, déclenchement de la lame, arrêt de celle-ci au moment décisif.
On recrie au miracle, il est aussi gracié.
Arrive le Belge de service (il y en a dans toutes bonnes histoires), donc notre belge est installé avec la tête dirigée vers la droite alors que les deux premiers l'avaient vers la gauche.
Il se dégage une main et montre le chambranle :
-- "C'est pas le petit boulon qui gêne ?"