Ce quatrain provient d'un célèbre rondeau du Moyen Âge :
"Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderies,
De soleil luisant, clair et beau."

Eustache Deschamps

François Villon

Charles d'Orléans

À qui doit-on ce quatrain ouvrant un sonnet de La Pléiade :
"Ô doux plaisir plein de doux pensement,
Quand la douceur de la douce meslée,
Etreint et joint, l'âme en l'âme mellée,
Le corps au corps accouplé doucement" ?

Pierre de Ronsard

Joachim du Bellay

Jean-Antoine de Baïf

Ce quatrain est écrit par un poète baroque du XVIIe siècle :
"Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs,
Les Soleils hâleront ces journalières fleurs,
Et le temps crèvera cette ampoule venteuse."

Jean de Sponde

Philippe Desportes

François de Malherbe

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Situé au milieu d'un long poème romantique, à qui doit-on ce célèbre quatrain :
"Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !" ?

Alfred de Musset

Alphonse de Lamartine

Alfred de Vigny

Ce quatrain est l'introduction d'un poème sur la nostalgie :
"Je ne songeais pas à Rose ;
Rose au bois vint avec moi ;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi."
Qui en est l'auteur ?

André Chénier

Théodore de Banville

Victor Hugo

Ce quatrain est la conclusion d'un long poème écrit par un parnassien :
"La nature se rit des souffrances humaines ;
Ne contemplant jamais que sa propre grandeur,
Elle dispense à tous ses forces souveraines
Et garde pour sa part le calme et la splendeur".

Charles-Marie Leconte de Lisle

Théophile Gautier

José-Maria de Heredia

Introduction d'un célèbre sonnet du XIXe, devenu un classique :
"Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone".

Charles Baudelaire

Paul Verlaine

Paul Valéry

Maintes fois récité à l'école :
"Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?"
Qui est l'auteur de ce quatrain ?

Jules Laforgue

Paul Verlaine

Maurice Rollinat

Ce quatrain introduit un long poème symboliste, qui n'a pas fini de faire voyager :
"Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs".
Qui en est l'auteur ?

Stéphane Mallarmé

Arthur Rimbaud

Paul Valéry

Voici le premier quatrain célèbre d'un poème lyrique destiné à Elsa :
"Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi tes mains que je sois sauvé".
Qui l'a écrit ?

Paul Claudel

Robert Desnos

Louis Aragon

1er	Maryline...	70% 191s
2ème	Guidan44	70% 196s
3ème	Lyscome	70% 219s
4ème	LouiseB29	60% 140s
5ème	Cactus0810	50% 65s
6ème	Hippophile	50% 67s
7ème	Legrandvoyageur	50% 104s
8ème	Touraine	50% 119s
9ème	Cernier	50% 164s
10ème	Irma57	40% 89s

Quiz Un poète, un quatrain (1)

Ce quatrain provient d'un célèbre rondeau du Moyen Âge :
"Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderies,
De soleil luisant, clair et beau."

À qui doit-on ce quatrain ouvrant un sonnet de La Pléiade :
"Ô doux plaisir plein de doux pensement,
Quand la douceur de la douce meslée,
Etreint et joint, l'âme en l'âme mellée,
Le corps au corps accouplé doucement" ?

Ce quatrain est écrit par un poète baroque du XVIIe siècle :
"Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs,
Les Soleils hâleront ces journalières fleurs,
Et le temps crèvera cette ampoule venteuse."

Situé au milieu d'un long poème romantique, à qui doit-on ce célèbre quatrain :
"Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !" ?

Ce quatrain est l'introduction d'un poème sur la nostalgie :
"Je ne songeais pas à Rose ;
Rose au bois vint avec moi ;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi."
Qui en est l'auteur ?

Ce quatrain est la conclusion d'un long poème écrit par un parnassien :
"La nature se rit des souffrances humaines ;
Ne contemplant jamais que sa propre grandeur,
Elle dispense à tous ses forces souveraines
Et garde pour sa part le calme et la splendeur".

Introduction d'un célèbre sonnet du XIXe, devenu un classique :
"Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone".

Maintes fois récité à l'école :
"Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?"
Qui est l'auteur de ce quatrain ?

Voici le premier quatrain célèbre d'un poème lyrique destiné à Elsa :
"Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi tes mains que je sois sauvé".
Qui l'a écrit ?

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Ce quatrain provient d'un célèbre rondeau du Moyen Âge : "Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderies, De soleil luisant, clair et beau."

À qui doit-on ce quatrain ouvrant un sonnet de La Pléiade : "Ô doux plaisir plein de doux pensement, Quand la douceur de la douce meslée, Etreint et joint, l'âme en l'âme mellée, Le corps au corps accouplé doucement" ?

Ce quatrain est écrit par un poète baroque du XVIIe siècle : "Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse, Qui brave de la mort, sentira ses fureurs, Les Soleils hâleront ces journalières fleurs, Et le temps crèvera cette ampoule venteuse."

Situé au milieu d'un long poème romantique, à qui doit-on ce célèbre quatrain : "Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !" ?

Ce quatrain est l'introduction d'un poème sur la nostalgie : "Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi." Qui en est l'auteur ?

Ce quatrain est la conclusion d'un long poème écrit par un parnassien : "La nature se rit des souffrances humaines ; Ne contemplant jamais que sa propre grandeur, Elle dispense à tous ses forces souveraines Et garde pour sa part le calme et la splendeur".

Introduction d'un célèbre sonnet du XIXe, devenu un classique : "Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone".

Maintes fois récité à l'école : "Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?" Qui est l'auteur de ce quatrain ?

Voici le premier quatrain célèbre d'un poème lyrique destiné à Elsa : "Donne-moi tes mains pour l'inquiétude Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude Donne-moi tes mains que je sois sauvé". Qui l'a écrit ?

Ce quatrain provient d'un célèbre rondeau du Moyen Âge :
"Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderies,
De soleil luisant, clair et beau."

À qui doit-on ce quatrain ouvrant un sonnet de La Pléiade :
"Ô doux plaisir plein de doux pensement,
Quand la douceur de la douce meslée,
Etreint et joint, l'âme en l'âme mellée,
Le corps au corps accouplé doucement" ?

Ce quatrain est écrit par un poète baroque du XVIIe siècle :
"Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs,
Les Soleils hâleront ces journalières fleurs,
Et le temps crèvera cette ampoule venteuse."

Situé au milieu d'un long poème romantique, à qui doit-on ce célèbre quatrain :
"Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !" ?

Ce quatrain est l'introduction d'un poème sur la nostalgie :
"Je ne songeais pas à Rose ;
Rose au bois vint avec moi ;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi."
Qui en est l'auteur ?

Ce quatrain est la conclusion d'un long poème écrit par un parnassien :
"La nature se rit des souffrances humaines ;
Ne contemplant jamais que sa propre grandeur,
Elle dispense à tous ses forces souveraines
Et garde pour sa part le calme et la splendeur".

Introduction d'un célèbre sonnet du XIXe, devenu un classique :
"Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone".

Maintes fois récité à l'école :
"Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?"
Qui est l'auteur de ce quatrain ?

Voici le premier quatrain célèbre d'un poème lyrique destiné à Elsa :
"Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi tes mains que je sois sauvé".
Qui l'a écrit ?