Les espèces en voie de disparition  

On ne trouve ce mammifère ruminant qu'au Congo. Devenu célèbre dans le monde occidental avec la colonisation, il est sur la liste rouge des espèces menacées. Il en reste cependant entre 10 et 20 000 en Afrique.

Cet État des États-Unis met tout en œuvre pour tenter de sauver l'espèce dont le nombre diminue dramatiquement. Il en resterait environ 150. Son cousin, le Puma, est officiellement disparu dans la région.

Il fut longtemps chassé sur ses territoires jusqu'à devenir une espèce protégée. Crabe terrestre, il vit sur les îles du Pacifique mais ne va pas dans l'eau. Muni de poumons, il peut grimper aux arbres et ses pinces suffisent largement à couper un doigt humain en une fraction de seconde.

Peu observée et peu photographiée, cette espèce de grenouille se trouve à Quepos, Costa Rica. Sa peau contient une puissante neurotoxine. Il n'en resterait qu'une poignée très localisée.

La situation est dramatique pour ce poisson de récif vivant dans les eaux tropicales des Caraïbes et qui a été pêché en abondance au cours des dernières décennies, souvent en pleine saison de reproduction de l'espèce, qui est désormais classée "en danger critique" d'extinction.

Ce canidé aux allures de loup et de renard roux est une espèce "en danger", d'après l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Partout sur son aire de répartition, il voit en effet sa population sauvage décliner.

Espèce observée pour la première fois en 2011, il n'existe aujourd'hui qu'une poignée de photographies à son sujet. A nouveau, peu de chance de voir survivre cette espèce de chenille à la déforestation massive de son habitat Australien.

Ce dauphin d'Asie du Sud-Est a été identifié par Owen en 1866 et fut longtemps admis seule espèce dans son genre. Situation particulièrement critique, il n'en resterait moins de 100 aux dernières nouvelles. En cause : certaines techniques de pêche.

Espèce de vautour présente en Asie centrale, en Afrique, au Moyen-Orient et dans une moindre mesure, en Europe. Ils furent pratiquement éradiqués durant le siècle dernier car ils inspiraient la peur. On en compte moins de 10 000 dans le monde.

La chasse mais surtout la déforestation sont à l'origine de la disparition probable de ce marsupial qui évolue dans les forêts tropicales de Nouvelle-Guinée et dans l'extrême nord-est du Queensland en Australie. Il est considéré en "statut critique" par le WWF. Sa population fut rabotée de 80% ces 30 dernières années.