Mais c'est quoi ce film (4) L'âge d'or du cinéma français  

Gabin a la nostalgie de la Chine et Belmondo rêve de corridas.
Henri Verneuil, en 1962.

"Monsieur, il existe des patrons de Gauche !"
- "C'est vrai ! Il existe aussi des poissons volants mais qui ne constituent pas la majorité du genre !"
Réplique inoubliable dans la bouche de Jean Gabin;
Henri Verneuil, 1961.

À Brescello, dans la plaine du Pô, la rivalité est permanente entre le maire communiste Gino Cervi et le curé de choc Fernandel qui parle quotidiennement au Christ du maître-autel de son église.
Julien Duvivier, 1952.

Jean Doucet, l'instituteur d'un petit village, est accusé du viol de Catherine, l'une de ses élèves. Alors qu'il clame son innocence, d'autres accusations l'accablent.
Avec Jacques Brel dans le rôle de l'instit.
André Cayatte, 1967.

Pendant la Première Guerre mondiale, une jeune fiancée, Micheline Presle, aide soignante dans un hôpital militaire, prend pour amant Gérard Philipe, un lycéen, trop jeune pour rejoindre l'armée.
Claude Autant-Lara, 1947.

Danielle Darrieux, dite « Bébé », a empoisonné son époux Jean Gabin, un riche industriel provincial. Sur son lit de clinique, François revit ses années passées.
Henri Decoin, 1952.

Jean Gabin (Max) et René Dary (Riton) ont un gros magot en lingots que Lino Ventura (Angelo), rêve de leur voler.
Tout ça finira mal...
Jacques Becker, 1954.

L'histoire d'un amour impossible, marqué par le destin, que se portent Simone Signoret et Serge Reggiani.
Jacques Becker, 1952.

Georges Lachaunaye (Bourvil) appartient à une vieille famille aristocrate désargentée pour laquelle il n'est pas imaginable d'exercer un travail. Il faut cependant bien se nourrir. En pillant les troncs d'église, par exemple...
Jean-Pierre Mocky, 1963.

Jean Marais s'ennuie et traîne sa misère dans son château de Gascogne. Voilà qu'un soir d'orage, une troupe de saltimbanques demande abri pour la nuit. Tombé immédiatement amoureux de l'ingénue de la troupe, il part avec eux à Paris...
Pierre Gaspard-Huit, 1961.