Les chefs militaires français  

Une facile pour l'échauffement. Chef arverne, j'ai tenté d'unifier les tribus gauloises pour résister à Jules César. Je suis :

Grand chevalier d'origine bretonne, je suis peut être le meilleur chef français du Moyen-Âge. Doté d'une force surhumaine, expert de la "petite guerre" et des tactiques de siège, je reprends une grande partie de la France aux Anglais. Je suis :

De mon vrai nom Pierre Terrail, je suis connu comme "le chevalier sans peur et sans reproche". Redoutable combattant au service de François Ier, je suis aussi un excellent chef de guerre. Je suis :

Au service de Louis XIV, on disait de moi qu'une ville que j'assiégeais pouvait être considérée comme prise, et qu'une ville que je défendais pouvait être considérée comme imprenable. Je suis :

Peut-être le meilleur tacticien de Louis XIV, je suis connu pour mes brillantes campagnes face aux impériaux. Tué à Salzbach, mes adversaires me rendent hommage. Je suis :

Je remporte l'éclatante victoire de Rocroi, puis participe à la fronde avant de retourner au service de Louis XIV. Je suis :

Encore sous Louis XIV, mais vers la fin de son règne, mes succès à Malplaquet et Denain ont sauvés la France d'une invasion et permis de négocier la paix dans des conditions acceptables. Je suis :

Chef militaire au service de Louis XV, je suis célèbre pour avoir remporté la bataille de Fontenoy. Je suis :

Je fus l'âme de la résistance française au Canada pendant la guerre de 7 ans. Je suis :

Considéré comme le meilleur chef militaire français, voire de l'histoire, ma carrière incroyable commence à Toulon, s'achève en Belgique, en passant par l'Italie, l'Égypte, l'Autriche, l'Allemagne, la Pologne, l'Espagne, la Russie... Je suis :

Grand marin puis armateur, fidèle partisan de Napoléon, je futs un véritable poison sur les lignes maritimes anglaises. Je suis :

Sûrement le meilleur des maréchaux de Napoléon, je remporte une victoire éclatante à Auerstaedt. Je suis :

Maréchal du Second empire, je m'empare du fort de Malakoff en Crimée, puis je combats en Algérie et en Italie. Je fus par la suite président de la République. Je suis :

Durant la Première Guerre mondiale, je mène une brillante contre-attaque à Verdun, mais mon échec désastreux au Chemin des Dames fit oublier mes qualités. Je suis :

Chef de la première armée française libre, je mène la campagne d'Allemagne aux côtés des Alliés. Je suis :

Général des FFL, je dirige l'héroïque résistance du camp retranché de Bir Hakeim. Je suis :