Test Perso

Test De quel candidat êtes-vous le plus proche à l'occasion des élections de 2022 ?

par GeniedesGeographie

GeniedesGeographie

118 joués - il y a 2 ans

Aujourd'hui, je vais tenter de deviner en 20 questions de quel candidat aux élections présidentielles de 2022 vos convictions politiques sont les plus proches.

Ce test n'est pas complet et je ne vous promets pas que vous tomberez précisément sur le candidat que vous souhaiteriez voir à la tête de l'Élysée. Si vous avez des suggestions, vous pouvez m'en faire part. : -)
Bon test !

TEST 20 QUESTIONS

Commençons avec les impôts…

Il faut baisser les impôts lorsque les caisses de l'État sont remplies, et les augmenter lorsque le pays est en crise.

Il faut que ce soit les plus riches ou les grandes entreprises qui paient le plus d'impôts, et les baisser pour les pauvres, afin de faire jouer la solidarité.

Il faut procéder à une baisse globale du montant des impôts pour faire en sorte que les particuliers et les entreprises puissent plus investir dans l'économie et ainsi la rendre plus productive.

Que pensez-vous de la mondialisation ?

La mondialisation doit être conservée et modérée, la concurrence mieux encadrée ; les nations doivent faire appliquer des lois permettant de mieux protéger les travailleurs, réduire les inégalités, mais aussi faire face aux enjeux environnementaux.

La mondialisation est une des causes de la surexploitation et la pollution des pays pauvres, des conditions parfois misérables des ouvriers ; il faut que les États prennent des mesures qui fassent passer l'intérêt collectif avant les multinationales.

La croissance et l'efficacité de production sont surtout engendrées par le phénomène de concurrence ; il faut supprimer les barrières douanières et les règlementations qui entravent son bon fonctionnement.

La mondialisation peut être vue comme une chance : elle donne l'accès à des marchés nouveaux et peut faire progresser le niveau de vie, mais l'État doit aussi proposer des aides pour ceux ne trouvant pas leur place dans la mondialisation.

Quel est votre point de vue concernant les minima sociaux et la lutte contre la fraude sociale ?

Il faut responsabiliser les bénéficiaires, afin qu'ils comptent plus sur eux-mêmes que sur les aides de l'État. La fraude sociale coûte chaque année plusieurs milliards à la France, il faut la combattre.

L'État doit bien sûr venir en aide aux plus modestes, mais ces derniers ne doivent pas tout attendre de la part du gouvernement. Il faut déployer plus de moyens contre la fraude sociale mais ce n'est pas une priorité.

Il faut permettre à tous les citoyens d'avoir un niveau de vie décent quel que soit leur statut ou leur activité. Le coût de la fraude sociale est largement dépassé par celui de la fraude fiscale, c'est contre elle qu'il faut lutter en priorité.

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Faut-il selon vous instaurer des mesures et des taxes plus conséquentes envers les Français les plus fortunés, par preuve de solidarité envers tous les autres citoyens ?

Bien sûr, il faut partager les richesses, mieux taxer les héritages, rétablir l'impôt sur la fortune, et lutter contre l'évasion fiscale. La réduction des inégalités est un pilier pour éradiquer la pauvreté.

Il faut prélever un impôt juste sur les plus riches et éviter au maximum l'optimisation fiscale, mais les grandes entreprises dont ils sont à la tête contribuent au bon fonctionnement de l'économie, ce serait contre-productif de trop les sanctionner.

Les plus fortunés méritent leurs richesses ; les grandes entreprises rendent le système économique plus efficace et créent des emplois ; il faut conserver les subventions voire augmenter leur montant et ne pas imposer plus de taxes.

Quelle est votre opinion sur le statut des entreprises en France ?

Nous devons prendre plus de mesures sociales concernant les entreprises, par exemple en augmentant le coût du licenciement chez les entreprises qui font des gros profits.

Leurs bénéfices doivent en premier être partagés avec leurs salariés, qui sont à la base de leur chiffre d'affaires et sans quoi il leur serait impossible d'exister, par exemple en instaurant des mesures limitant l'écart des salaires en entreprise.

Il faut libérer les entreprises des contraintes imposées afin de favoriser leur développement et les rendre plus compétitives ; cela leur permettrait d'hésiter moins au moment d'embaucher par exemple.

Il faut en priorité aider les petites et moyennes entreprises dans le but de réduire au maximum les faillites car nous avons besoin des secteurs et branches d'activité qu'elles proposent.

Comment doit agir l'État vis-à-vis des services publics ?

L'État doit partager les missions du service public, afin de concentrer les principales et de confier le reste au privé. Cela lui coûtera moins cher et s'avérera plus productif.

Il faut investir massivement dans tous les services publics pour que tout le monde puisse avoir accès à des services publics efficaces et qualitatifs. Ils ne doivent pas chercher à être rentables !

L'État ne doit se préoccuper que de ses principales missions : la police, la justice et la défense de la nation. Le reste peut être privatisé et confié à des entreprises indépendantes, dont les méthodes de gestions sont bien plus efficaces.

L'État doit rendre les services publics plus efficaces et moins coûteux, mais il faut éviter de les laisser entre les mains du privé, car les missions sociales n'y sont pas forcément des plus adaptées.

Quelle est selon vous la priorité pour l'agriculture ?

Il faut rendre plus facile la création d'une exploitation agricole en luttant contre l'accaparation des terres pour donner envie à plus de gens de se lancer dans le métier d'agriculteur.

L'État doit inciter les agriculteurs à vendre des produits issus de l'agriculture biologique (TVA à 0%), interdire l'usage de certains pesticides, en finir avec l'élevage intensif et défendre le bien-être animal.

L'État doit accorder des aides et des subventions aux agriculteurs pour leur permettre de faire face à l'inflation et ne pas faire faillite, notamment sur la nourriture du bétail.

L'État doit récompenser les producteurs locaux et instaurer une taxe carbone aux frontières de l'UE pour sanctionner les importations les plus polluantes.

Quel est votre point de vue sur l'avenir des ressources énergétiques ?

Il faut sortir du nucléaire rapidement, très coûteux, et dont l'uranium provient de pays lointains ce qui nuit à notre indépendance énergétique. Il faut plus miser sur les énergies renouvelables, vertueuses pour l'environnement.

Le nucléaire est une énergie propre dont l'efficacité par rapport au nombre de centrales ne peut être remise en cause. Les énergies renouvelables n'arrivent pas à sa cheville et peuvent être gênantes (notamment l'éolien) pour les habitants ruraux.

Il faut développer les énergies renouvelables, qui peuvent être une source d'emplois, plus bénéfiques pour l'environnement, tout en remplaçant les réacteurs nucléaires en fin de vie par d'autres plus performants.

Pensez-vous que les citoyens n'ont pas assez de pouvoir dans la Ve République ?

Non, les institutions de la Ve République permettent déjà au peuple d'élire son président et ses députés. Elles permettent une grande efficacité notamment dans le domaine des démarches exécutives.

Il faudrait qu'il y ait des avancées génériques dans le domaine de la démocratie, comme par exemple la proportionnelle, la reconnaissance du vote blanc, et des référendums proposés aux citoyens. Il faudrait aussi que l'Assemblée ait plus de pouvoir.

Il est impératif de passer à une nouvelle République, afin de rendre possibles la révocation des élus, les référendums d'initiative citoyenne, et l'abolition de la monarchie présidentielle.

Il faut que le pouvoir soit décentralisé et se concentre davantage sur les élus locaux et régionaux (maires, présidents de régions et de départements).

À présent, parlons de la lutte contre la délinquance…

Tout le monde est responsable de ses actes, on peut choisir de ne pas tomber dans la délinquance, la justice doit être plus dissuasive. Il faut développer des moyens policiers, judiciaires et financiers pour lutter contre l'insécurité.

La délinquance naît dans des milieux ou contextes difficiles (pauvreté, problèmes sociaux ou familiaux), il faut d'abord lutter contre ces contextes pour réduire efficacement la délinquance.

Un contexte difficile favorise l'apparition de la délinquance, mais il n'explique cependant pas tout ; il faut un juste équilibre entre durcissement des sanctions et prévention.

Que faut-il faire en priorité avec la police ?

Il faut donner les moyens aux policiers d'agir efficacement dans les banlieues où ils ont perdu le contrôle. Cela passe par le recrutement de policiers, la création de brigades spécialisées et le durcissement des peines pour violence envers la police

Il faut recruter de nouveaux policiers/brigadiers selon les besoins locaux, mieux les former en ce qui concerne par exemple les violences faites aux femmes et allouer plus d'argent au ministère de l'Intérieur.

Il faut recruter des policiers de proximité, lutter contre les violences policières, remplacer l'IGPN par une commission indépendante, interdire l'usage de certaines armes et techniques (tasers, plaquages ventraux) et démanteler les BAC.

Quel est votre point de vue concernant l'usage du cannabis ?

Il faut le légaliser : la lutte contre le cannabis est inefficace, coûteuse, monopolise les effectifs policiers, tandis qu'une légalisation pourrait permettre à l'État de contrôler la qualité du cannabis consommé.

La légalisation du cannabis serait une grave erreur : cela augmenterait la consommation globale et inciterait plus de jeunes à en consommer. Il faudrait plutôt renforcer la répression contre le traffic et les dealers.

Il faudrait dépénaliser l'usage du cannabis, ou au moins entretenir un débat national afin de demander l'avis des spécialistes sur la question.

Il faut légaliser les drogues douces comme le cannabis et dépénaliser l'usage des drogues dures.

Passons maintenant à la question de l'immigration…

Il faut accueillir des migrants et lutter contre les discriminations, mais l'intégration ne peut se faire que si ceux-ci ont compris qu'ils ont des droits et des devoirs, et qu'ils doivent notamment respecter les valeurs du pays d'accueil.

L'immigration est un danger pour la France : les immigrés profitent du système, ne participent pas assez à l'économie, ne respectent pas la culture française et apportent la délinquance dans nos quartiers.

L'accueil des immigrés est un devoir moral et humain : il ne faut pas oublier que ceux-ci fuient la guerre ou une grande pauvreté, donc qu'ils doivent être accueillis dignement (régularisés ou non).

L'immigration peut être bénéfique pour l'emploi par exemple, mais nous n'avons pas les moyens d'accueillir tout le monde, il faut ainsi lutter contre l'immigration clandestine et renforcer les contrôles aux frontières.

À présent, poursuivons avec la position que doit adopter la France à l'international.

La France doit prôner le non-alignement, sortir de l'influence énorme que les USA exercent sur elle, refuser les interventions militaires sans mandat de l'ONU. Les organisations militaires et alliances n'ont jamais fait qu'empirer les conflits.

La France doit rester dans l'OTAN, une organisation cruciale qui amplifie sa défense et dissuade nos éventuels ennemis d'attaquer militairement notre pays.

La France doit sortir du commandement intégré de l'OTAN, arborer des positions souveraines et indépendantes, mais doit rester dans l'OTAN pour garder de bonnes relations diplomatiques avec ses pays membres.

Maintenant, enchaînons sur les questions de société. Pensez-vous que l'État doit légaliser le suicide médicalement assisté ?

Oui, si un patient atteint d'une maladie incurable souhaite mourir dans la dignité, il faut respecter son choix et son droit.

Non, la loi actuelle est suffisante : à la majorité des patients étant en phase terminale sont administrés des médicaments pouvant affecter leurs émotions et les empêcher de prendre une décision rationnelle.

Il faut confier cette décision à une convention citoyenne sur le sujet.

Que faut-il faire concernant les droits des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) ?

Il faut l'égalité des droits pour les personnes LGBT et non-LGBT, notamment en matière de lutte contre les discriminations. Il faut également sensibiliser davantage concernant le respect des choix de chacun.

Si l'on veut lutter contre les discriminations dont les personnes LGBT sont victimes, il faut également défendre le modèle de la famille traditionnelle et du couple hétérosexuel.

Quel est votre point de vue concernant l'éducation ?

Il faut prôner l'excellence, en donnant plus de priorité aux fondamentaux (français, maths, histoire) afin de s'assurer que tous les citoyens sachent lire, écrire et compter. Il faut mieux récompenser les élèves qui réussissent leur scolarité.

Pour permettre à tout le monde de réussir, il faut assurer l'équité, afin que chaque élève, quel que soit le milieu d'où il provient, puisse travailler dans les meilleures conditions : mixité sociale, baisse du coût des fournitures et de la cantine…

Il faut développer de nouveaux enseignements pour permettre à chaque élève de trouver sa voix et de ne pas laisser tomber ses études.

Il faut davantage sensibiliser les élèves sur l'orientation et sur l'apprentissage des métiers dans l'éducation, afin qu'ils aient une bonne idée de ce qu'ils veulent faire pour qu'ils évitent de ne pas savoir où aller plus tard.

Parlons désormais de religions et de laïcité…

La laïcité doit être inclusiviste : la loi doit permettre à toutes les communautés de cohabiter dans le respect du droit démocratique.

La laïcité doit être séparatiste : chaque personne doit avoir droit à une identité culturelle, pour assurer la liberté de conscience.

La laïcité doit être intégrationniste : il faut installer les nouveaux arrivants dans la culture nationale, tout en permettant à chacun de conserver leur singularité afin de défendre la cohésion du corps social.

La laïcité doit être assimilationniste : elle doit permettre la défense de la culture et des racines nationales, en faisant en sorte que les nouveaux arrivants respectent ses principes culturels.

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Quelle est votre position sur le logement ?

Chacun doit avoir le droit au logement : il faut construire des logements sociaux, lutter contre les logements vacants, garantir des logements aux étudiants et augmenter les APL (aides au logement).

Il faut faire des rénovations énergétiques de logement, lutter contre les passoires thermiques, construire des logements bas-carbone et revoir les normes environnementales de construction.

Il faut baisser le coût de la construction massive de logements et inciter les Français à devenir propriétaires, notamment en généralisant le prêt à taux 0.

Il faut supprimer/réduire les aides sociales non contributives pour les étrangers extra-européens, expulser les dealers et leur famille des logements sociaux. Il faut également abroger la loi obligeant les villes à consacrer 1/4 de logements sociaux.

Enfin, parmi ces thèmes, lequel devra selon vous être la priorité de ce prochain quinquennat ?

L'immigration, l'insécurité et la lutte antiterroriste.

La lutte contre les inégalités, la protection sociale et le rejet du capitalisme à outrance.

L'environnement, l'instauration de mesures écologiques, la lutte contre le changement climatique.

L'économie et les finances : le plein emploi, l'entrepreneuriat, la dette et les déficits.

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