Reines et favorites de France  

En 1795, on me présente à un jeune officier corse du nom de Napoléon. Dans mon petit château de Malmaison, je m'adonne à mes deux plus grandes passions : la botanique et la zoologie.

Je suis sans doute la plus célèbre des reines de France. Autrichienne, épouse de Louis XVI, je mourrai guillotinée le 16 octobre 1793.

Je me marie en 1200 à Louis, fils de Philippe Auguste, qui deviendra plus tard Louis VIII le Lion. Dominatrice et courageuse, douée pour la politique, je suis tout autant vénérée que détestée.

J'aurais, dit-on, cautionné le massacre de la Saint-Barthélemy, et je suis la mère de trois futurs rois de France. Lorsque je deviens enfin régente, je me découvre un véritable talent politique.

Nous sommes les 3 brus d'humeur trop libre et trop joyeuse de Philippe le Bel, et avec son courroux, débutera le long procès des Templiers et la lignée des rois maudits.

Espagnole, je ne règne pas plus dans le cœur de mon époux que dans celui des Français. J'affronterai ces épreuves avec l'aide de Mazarin, et remettrai à mon fils Louis XIV un royaume consolidé.

J'ai brisé tous les tabous. Maîtresse du roi Louis XV, bourgeoise devenue marquise, confidente et entremetteuse, je règne en presque reine durant 20 ans. Je mourrai d'une pneumonie à l'âge de 42 ans.

Je prend la place occupée par Mme de La Vallière dans le cœur du roi. En 1680, Louis XIV fait étouffer les soupçons qui pèsent sur moi dans l' 'affaire des poisons'.

Mécène, je favorise le développement des arts et m'entoure d'une cour de brillants artistes. Je suis également la maîtresse et l'unique grand amour d'Henri II.

J'ai accédé la première au rang tant convoité de favorite officielle de Louis XIV, pour finalement entrer au couvent et demander pardon à Dieu ainsi qu'à la reine pour ma 'noble inconduite'.