Question 1 / 7

Le matin est brumeux, tu serres la lettre dans ta main, celle que tu as relue au moins cinquante fois. Tu es en route vers la voie 9 3/4, ton cœur battant à chaque pas.
Sur le quai, la vapeur du train se mêle aux rires d’enfants et aux adieux précipités. Tu montes dans un compartiment, un élève, déjà installé, te lance un regard rapide. Il semble concentré sur un vieux grimoire usé. Que fais-tu ?

Tu lui adresses un sourire amical et lui demandes s’il est en première année lui aussi.

Tu prends place sans mot dire, mais tu observes discrètement le titre de son grimoire.

Tu engages franchement la conversation, plein(e) d’enthousiasme : ''Tu crois qu’on aura déjà des cours de sorts cette semaine ?''

Tu restes silencieux/silencieuse, préférant jauger la personne avant d’ouvrir la bouche.

Question 2 / 7

Un peu plus tard, alors que le train file entre les collines anglaises, un bruit attire ton attention dans le couloir. Un élève est accroupi au sol, ramassant rapidement des cartes de Chocogrenouilles qui se sont éparpillées partout. Son visage est rouge de gêne, ses mains tremblent légèrement.
Tu sors du compartiment. Il ne semble pas t’avoir vu.
Que fais-tu ?

Tu t’accroupis à ses côtés et l’aides à ramasser, en lui glissant que ça arrive à tout le monde.

Tu t’approches lentement et demandes si les cartes sont rares, cherchant à en apprendre plus.

Tu fais une blague pour détendre l’atmosphère, puis lui tends les cartes avec un clin d’œil.

Tu observes la scène quelques secondes, puis t’éloignes discrètement. Mieux vaut rester en retrait pour l’instant.

Question 3 / 7

La nuit est tombée quand tu aperçois enfin le château. Les grandes portes s’ouvrent. Le hall d’entrée est immense, avec ses plafonds enchantés et ses chandelles flottantes. Le professeur McGonagall vous guide jusqu’à la pièce où les premières années attendent la Cérémonie de Répartition. Tu remarques que les autres parlent déjà des maisons : certains rêvent déjà d'une maison. Et toi que veux-tu ?

Serdaigle

Gryffondor

Serpentard

Poufsouffle

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Question 4 / 7

Les portes s’ouvrent en grand. Tu entres dans la Grande Salle, entouré(e) de dizaines d’autres élèves émerveillés. Un vieux chapeau râpé repose sur un tabouret. La cérémonie commence. Des noms sont appelés un à un, chacun s’assied sous le Choixpeau. À chaque répartition, la table de la maison concernée applaudit, avec des visages accueillants, mais parfois un peu hautains. Puis ton nom est prononcé. Que penses-tu ?

Tu penses : peu importe l’endroit, je veux me montrer à la hauteur

Tu penses : je suis prêt(e) à découvrir les secrets que cache ce château.

Tu penses : je veux m’entourer de personnes honnêtes et vraies.

Tu penses : quoi qu’il arrive, je saurai tirer parti de ce qui m’attend.

Question 5 / 7

La cérémonie est terminée. Le préfet de ta maison vous guide vers votre salle commune. Quand vous y arrivez enfin, tu montes dans le dortoir qui t’a été attribué. Avant de te coucher, tu ouvres ta malle pour y ranger des affaires. Tu tombes alors sur un carnet que tu ne reconnais pas. Il n’était pas là ce matin. Tu restes un moment à le tenir entre tes mains.
Que fais-tu avec ce carnet ?

Tu l’ouvres avec curiosité, notant la sensation du papier. Tu te dis qu’il pourrait te servir à comprendre ce qui t’entoure.

Tu l’inspectes avec prudence : il a peut-être une origine cachée. Mieux vaut rester discret/discrète.

Tu y écris les quelques pensées qui te viennent — pour ne pas oublier cette journée unique.

Tu griffonnes un symbole, une idée, un souvenir vif. Tu veux qu’il t’appartienne immédiatement.

Question 6 / 7

Le matin arrive vite, tu as à peine le temps de manger le petit-déjeuner que le préfet vous guide vers vos salles de classe. Premier cours : sortilèges, avec le professeur Flitwick, vous travaillez Wingardium Leviosa. Tu t’assieds à côté d’un élève qui semble nerveux. Tu parviens à faire flotter la plume mais ton voisin n’y arrive pas, il finit par jeter sa baguette, dépité.
Comment réagis-tu ?

Tu lui souris doucement et lui dis que personne ne réussit du premier coup. C’est normal de tâtonner.

Tu observes son geste, puis lui suggères calmement une correction discrète : ''Essaye en levant un peu plus le coude.''

Tu lui dis qu’il y arrivera, mais seulement s’il cesse d’avoir peur de rater. Il doit oser rater pour mieux réussir.

Tu lui dis, sans méchanceté mais sans détour : ''Si tu te décourages si vite, la magie ne fera pas le travail à ta place.''

Question 7 / 7

La journée s’est déroulée comme un rêve pressé. Tu n’as pas eu un instant pour souffler à cause du travail. Le dortoir est plongé dans l’obscurité. Tu ne dors pas encore. Quelque chose t’attire vers la fenêtre. Tu lèves les yeux vers le ciel. Et, pour la première fois depuis ton arrivée, tu te demandes tranquillement ce que tu ressens.
Qu’est-ce qui t’habite, au creux de cette première nuit ?

Un calme simple, une forme de gratitude douce. Tu espères simplement construire ici quelque chose de vrai.

Un feu discret, comme une promesse faite à toi-même. Tu sais que tu es là pour prendre ta place, à ta manière.

Une tension impatiente : il y a tant à vivre, tant à découvrir, tu veux déjà être dans le mouvement.

Un émerveillement contenu, presque secret : tout ici semble porteur de sens, et tu veux comprendre chaque pièce du puzzle.

Test Quelle serait ta maison à Poudlard ?

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