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Classique
Quiz Littérature, poésie

Quiz Poème à compléter

38 joués - il y a 12 ans

Poème : 'À la Malibran' d'Alfred de Musset

 

Difficile QUIZ 19 QUESTIONS
difficile
1

Sans doute il est trop tard pour parler encor d'elle ; Depuis qu'elle n'est plus, quinze jours sont passés, Et dans ce pays-ci quinze jours, je le sais, Font d'une mort récente ***

2

Jamais l'affreuse nuit ne les prend tout entiers. À défaut d'action, leur grande âme inquiète, De la mort et du temps entreprend ***

3

Sur sa toile, en mourant, Raphaël l'a laissée, Et, pour que le néant ne touche point à lui, C'est assez d'un enfant sur ***

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4

Comme dans une lampe une flamme fidèle, Au fond du Parthénon le marbre inhabité, Garde de Phidias ***

5

Ainsi le vaste écho de la voix du génie, Devient du genre humain ***

6

Une croix ! Et l'oubli, la nuit et le silence ! Écoutez ! C'est le vent, c'est l'Océan immense ; C'est un pêcheur qui chante au bord ***

7

Et de tant de beauté, de gloire et d'espérance, De tant d'accords si doux d'un instrument divin, Pas un faible soupir, ***

8

Une croix ! Et ton nom écrit sur une pierre, Voilà ce qu'après toi tu laisses ***

9

Ces accents pleins d'amour, de charme et de terreur, Qui voltigeaient le soir sur ta lèvre inspirée, Comme un parfum léger sur ***

10

N'était-ce pas hier qu'à la fleur de ton âge, Tu traversais ***, une lyre à la main ; Dans la mer, en riant, te jetant à la nage

11

Nous faut-il perdre encore nos têtes les plus chères, Et venir en pleurant leur fermer les paupières, Dès qu'un *** a brillé dans leurs yeux ?

12

Si le vent, sous nos pas, balaye ainsi le sable, De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous ***

13

Lorsque, sur le sillon, l'oiseau chante à l'aurore, Le laboureur s'arrête, et, le front en sueur, Aspire dans l'air pur un ***

14

Ainsi nous consolait ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient ***

15

Ah ! Tu vivrais encore sans cette âme indomptable. Ce fut là ton seul mal, et le secret fardeau, Sous lequel ton beau corps plia ***

16

C'est le Dieu tout-puissant, c'est la Muse implacable, Qui dans ses bras en feu t'a portée ***

17

Quelques bouquets de fleurs te rendaient-ils si vaine, Pour venir nous verser de vrais pleurs ***

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18

Ne sentais-tu donc pas que ***, De tes yeux fatigués s'écoulait en ruisseaux, Et de ton noble cœur s'exhalait en sanglots ?

19

Quand de ceux qui t'aimaient tu voyais la tristesse, Ne sentais-tu donc pas qu'une fatale ivresse, Berçait ta vie errante à ses derniers ***