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Classique
Quiz Histoire de france

Quiz Poilus célèbres

689 joués - il y a 10 ans

Pour le 99e anniversaire du début de la 1ère Guerre mondiale, trouvez ces personnalités qui ont combattu pour la France avec ces milliers d'inconnus tombés pour la nation.

 

Difficile QUIZ 30 QUESTIONS
difficile
1
Avant de commencer ce quiz sur ces personnalités qui ont donné leur sang « à la patrie en danger », voici quelques questions concernant la 1ère Guerre mondiale. Né à Graz le 18 décembre 1863, archiduc et prince héritier de l'Empire austro-hongrois, je suis assassiné avec mon épouse, la duchesse de Hohenberg, à Sarajevo par un nationaliste serbe de Bosnie, Gavrilo Princip, le 28 juin 1914, je suis

Avant de commencer ce quiz sur ces personnalités qui ont donné leur sang « à la patrie en danger », voici quelques questions concernant la 1ère Guerre mondiale. Né à Graz le 18 décembre 1863, archiduc et prince héritier de l'Empire austro-hongrois, je suis assassiné avec mon épouse, la duchesse de Hohenberg, à Sarajevo par un nationaliste serbe de Bosnie, Gavrilo Princip, le 28 juin 1914, je suis

2

En vérité, cet assassinat n'est qu'un prétexte qui vient cristalliser des tensions issues de contentieux antérieurs, comme : la perte de l'Alsace-Lorraine en 1871 côté français ou des rivalités d'ordres économique, politique ou colonial. Cet attentat met seulement le feu aux poudres, dont la mèche était déjà bien allumée, mais à quelle date de 1914 la France entre-t-elle officiellement en guerre ?

3
Comment était appelé l'accord signé entre l'Empire russe, l'Empire britannique et la France ?

Comment était appelé l'accord signé entre l'Empire russe, l'Empire britannique et la France ?

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4
Et pour l'Empire allemand, l'Empire austro-hongrois et l'Empire ottoman, comment était appelé l'accord signé par ces 3 nations ?

Et pour l'Empire allemand, l'Empire austro-hongrois et l'Empire ottoman, comment était appelé l'accord signé par ces 3 nations ?

5

Le triste bilan de cette guerre fit en 4 ans, environ 9 millions de morts, environ 8 millions d'invalides, ce qui fait (environ) 6000 décès par jour, la France sera le pays le plus touché avec 1, 4 millions de morts et de disparus (voilà, ce que la bêtise humaine peut engendrer). Passons aux personnalités, né le 11 juin 1883, je reste célèbre comme le 1er poilu tué le 02 août à 10h07, je suis ?

6
Architecte et ingénieur, né à Strasbourg en 1851, on me doit des œuvres comme les Grands moulins de Corbeil, minoterie construit en 1893, ou les bâtiments du réseau électrique du Métro de Paris. Grand-père du réalisateur, scénariste et écrivain Pierre Schœndoerffer (1928-2012), engagé volontaire malgré mes 63 ans, blessé, je décède le 21 avril 1917 à Troyon (Meuse), je suis :

Architecte et ingénieur, né à Strasbourg en 1851, on me doit des œuvres comme les Grands moulins de Corbeil, minoterie construit en 1893, ou les bâtiments du réseau électrique du Métro de Paris. Grand-père du réalisateur, scénariste et écrivain Pierre Schœndoerffer (1928-2012), engagé volontaire malgré mes 63 ans, blessé, je décède le 21 avril 1917 à Troyon (Meuse), je suis :

7

Né en 1862 à Roanne (Loire), archéologue, je me suis surtout illustré comme le précurseur de la céramologie antique. Conservateur du musée des Beaux-Arts et d'archéologie de Roanne de 1882 à 1914, capitaine au 298e régiment d'infanterie, je meurs au front à Vingré (actuelle commune de Nouvion-Vingré) dans l'Aisne le 4 octobre 1914, je me nomme :

8
Écrivain, poète et essayiste, né à Orléans le 7 janvier 1873, lieutenant dans le 276e régiment d'infanterie, je suis tué à la veille de la bataille de la Marne d'une balle dans le front, le samedi 5 septembre 1914 à Villeroy ou Plessis-l'Évêque (toutes deux en Seine-et-Marne). Je laisse à la postérité des œuvres comme  De la raison  en 1901 ou  L'Argent  en 1913, je me nomme :

Écrivain, poète et essayiste, né à Orléans le 7 janvier 1873, lieutenant dans le 276e régiment d'infanterie, je suis tué à la veille de la bataille de la Marne d'une balle dans le front, le samedi 5 septembre 1914 à Villeroy ou Plessis-l'Évêque (toutes deux en Seine-et-Marne). Je laisse à la postérité des œuvres comme "De la raison" en 1901 ou "L'Argent" en 1913, je me nomme :

9
Né en 1873 à Asnières-sur-Seine, écrivain, engagé volontaire (malgré des problèmes pulmonaires) dans le 231e régiment d'infanterie, je suis au combat en 1ère ligne jusqu'en 1916. Prix Goncourt en 1916 pour mon roman  Le Feu , communiste, je décède en U. R. S. S le 3 août 1935. Je suis (selon certaines rumeurs) mort empoisonné par Staline, qui suis-je ?

Né en 1873 à Asnières-sur-Seine, écrivain, engagé volontaire (malgré des problèmes pulmonaires) dans le 231e régiment d'infanterie, je suis au combat en 1ère ligne jusqu'en 1916. Prix Goncourt en 1916 pour mon roman "Le Feu", communiste, je décède en U. R. S. S le 3 août 1935. Je suis (selon certaines rumeurs) mort empoisonné par Staline, qui suis-je ?

10
Faïencier et peintre décorateur, né à Nevers dans la Nièvre le 16 mai 1876, appelé en décembre 1914, incorporé comme 2e classe au 237e régiment d'infanterie qu'en mars 1915. Mortellement blessé, je décède le 16 juin 1915 à Caucourt (Pas-de-Calais), on me doit des œuvres comme les fonts baptismaux et chemins de croix de l'église Saint-Loup de Saint-Honoré-les-Bains :

Faïencier et peintre décorateur, né à Nevers dans la Nièvre le 16 mai 1876, appelé en décembre 1914, incorporé comme 2e classe au 237e régiment d'infanterie qu'en mars 1915. Mortellement blessé, je décède le 16 juin 1915 à Caucourt (Pas-de-Calais), on me doit des œuvres comme les fonts baptismaux et chemins de croix de l'église Saint-Loup de Saint-Honoré-les-Bains :

11

Né à Rome en 1880, naturalisé français le 9 mars 1916, poète, blessé à la tempe par un éclat d'obus le 17 mars 1916 alors que je lis dans ma tranchée, je suis évacué à Paris où on me trépane. On me doit des œuvres comme "Poèmes à Lou", je décède de la grippe espagnole le 9 novembre 1918 et fait partie de ces 560 écrivains morts pour la France pendant la Grande Guerre :

12
Né à Valence le 4 décembre 1881, poète, on me doit des œuvres comme  La Mort de Narcisse  en 1904 ou  L'Homme et le Sphinx  en 1905, ayant une mauvaise vue, j'arrive après 3 tentatives à me faire incorporer comme volontaire dans l'infanterie. Je suis tué en Artois près de Carency le 9 juillet 1915 déchiqueté par un obus, je me nomme :

Né à Valence le 4 décembre 1881, poète, on me doit des œuvres comme "La Mort de Narcisse" en 1904 ou "L'Homme et le Sphinx" en 1905, ayant une mauvaise vue, j'arrive après 3 tentatives à me faire incorporer comme volontaire dans l'infanterie. Je suis tué en Artois près de Carency le 9 juillet 1915 déchiqueté par un obus, je me nomme :

13

Né en 1881 à Bassou (Yonne) inspecteur général des Beaux-Arts, conservateur des musées nationaux, écrivain et poète et un des fondateurs de l'Association des écrivains combattants. Conservateur du musée de Versailles de 1938 à 1941, j'assure la protection du domaine à l'arrivée des troupes allemandes, on me doit des œuvres comme "Millevoye" en 1912, je décède en 1973 :

14

Né à Argenteuil (Val d'Oise) le 13 mai 1882, artiste-peintre, sculpteur, dessinateur et céramiste, d'abord fauviste, je deviens cubiste en 1906, artiste majeur du XXe siècle. Mobilisé, je suis grièvement blessé le 11 mai 1915 à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais) et trépané, on me doit des œuvres comme "Maisons à l'Estaque" en 1908, je décède à Paris le 31 août 1963 :

15

Né à Péronne (Somme) en 1882, de mon vrai nom Pierre Dumarchey, écrivain, essayiste et poète prolifique, on me doit des œuvres comme "Le quai des brumes" en 1929 ou "L'Ancre de la miséricorde" en 1941. Mobilisé le 2 août 1914, je rejoins le 69e régiment d'infanterie à Toul (Meurthe-et-Moselle), je décède en Seine-et-Marne le 27 juin 1970, je suis :

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Instituteur et romancier, né à Balmont (Doubs) en 1882, auteur de  Goupil à Margot  (prix Goncourt 1910) ou encore de  La guerre des boutons  en 1912, piégé dans des barbelés le 7 avril 1915, blessé par plusieurs balles. J'aurais été récupéré par les Allemands qui m'emmènent dans un hôpital provisoire, celui-ci est détruit le lendemain par les alliés, mon corps reste disparu :

Instituteur et romancier, né à Balmont (Doubs) en 1882, auteur de "Goupil à Margot" (prix Goncourt 1910) ou encore de "La guerre des boutons" en 1912, piégé dans des barbelés le 7 avril 1915, blessé par plusieurs balles. J'aurais été récupéré par les Allemands qui m'emmènent dans un hôpital provisoire, celui-ci est détruit le lendemain par les alliés, mon corps reste disparu :

17
Né en 1884 à Paris, médecin, écrivain et poète, célèbre pour mon cycle romanesque de 10 volumes parus entre 1933 et 1945 s'intitulant  La chronique des Pasquiers . Académicien, élu en 1935, médecin aide-major dans des unités d'auto-chirurgie pendant la guerre, père du grand compositeur qui porte mon nom et dont le prénom et Antoine, je décède le 13 avril 1966 :

Né en 1884 à Paris, médecin, écrivain et poète, célèbre pour mon cycle romanesque de 10 volumes parus entre 1933 et 1945 s'intitulant "La chronique des Pasquiers". Académicien, élu en 1935, médecin aide-major dans des unités d'auto-chirurgie pendant la guerre, père du grand compositeur qui porte mon nom et dont le prénom et Antoine, je décède le 13 avril 1966 :

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Né en 1886 à la Chapelle-d'Angillon (Cher), romancier, je décède le 22 septembre 1914. D'après les renseignements, on aurait reçu l'ordre de tirer sur des brancardiers allemands, considéré comme un crime de guerre, l'ennemi nous auraient mitraillés, nos corps ne seront retrouvés et identifiés qu'en 1991 dans une fosse, mon œuvre principale est  le Grand Meaulnes  :

Né en 1886 à la Chapelle-d'Angillon (Cher), romancier, je décède le 22 septembre 1914. D'après les renseignements, on aurait reçu l'ordre de tirer sur des brancardiers allemands, considéré comme un crime de guerre, l'ennemi nous auraient mitraillés, nos corps ne seront retrouvés et identifiés qu'en 1991 dans une fosse, mon œuvre principale est "le Grand Meaulnes" :

19

Écrivain, poète et journaliste français d'origine suisse, né en 1887 à la Chaux-de-Fonds dans le canton de Neuchâtel (Suisse), engagé comme volontaire étranger, incorporé dans la Légion étrangère, gravement blessé le 28 septembre 1915, amputé de mon bras droit, j'écrirai cette expérience dans mon livre "La main coupée" en 1945. Je décède à Paris en 1961, je suis :

20

Né à Bayonne en 1887, juriste, diplomate et politicien, je reçois le prix Nobel de la paix en 1968. D'origine juive, je suis membre du gouvernement de la France libre, après guerre, vice-président du conseil d'État de 1944 à 1959, président de la cour européenne des droits de l'Homme de 1965 à 1968. Blessé grièvement au ventre et au jambes en octobre 1914, je décède le 20 février 1976 :

21

Poète américain, né à New-york le 22 juin 1888, engagé dans la Légion étrangère, je suis tué le 4 juillet 1916 au combat de Belloy-en-Santerre (Somme). On me doit une œuvre prémonitoire célèbre, le poème "Rendez-vous avec la mort" qui était une des poésies préférées de John-Fitzgerald Kennedy, je me nomme :

22
Né à Decize dans la Nièvre en 1890, romancier-poète, sous-lieutenant dans le 106e régiment d'infanterie. Très grièvement blessé de 3 balles à la fin de la bataille de la Marne le 25 avril 1915, je perds l'usage de ma main gauche, je décède le 8 septembre 1980 à Alicante (Espagne). J'écrirai beaucoup de récits sur la Grande guerre comme  Sous Verdun  en 1916, je suis :

Né à Decize dans la Nièvre en 1890, romancier-poète, sous-lieutenant dans le 106e régiment d'infanterie. Très grièvement blessé de 3 balles à la fin de la bataille de la Marne le 25 avril 1915, je perds l'usage de ma main gauche, je décède le 8 septembre 1980 à Alicante (Espagne). J'écrirai beaucoup de récits sur la Grande guerre comme "Sous Verdun" en 1916, je suis :

23

Né en 1892 à Paris, écrivain, journaliste et politicien. Mobilisé en 1914 comme 2e classe, blessé une 1ère fois par un éclat d'obus en septembre 1915, je suis de nouveau atteint, mais par des gaz à bord de mon char. Démobilisé qu'en 1919, on me doit des œuvres comme "La Visite du berger" en 1913 ou "Le malheur d'être jeune" en 1935, je décède dans la capitale le 10 octobre 1937 :

24

Né à Manosque (Alpes-de-Hautes-Provence) le 30 mars 1895, écrivain et scénariste, on me doit des œuvres comme "Regain" en 1930. Mobilisé en 1915, je ne suis que légèrement gazé, choqué par l'horreur vécue sur les champs de batailles, je deviens un pacifiste convaincu. Je m'éteins emporté par une crise cardiaque le 9 octobre 1970 dans la ville qui m'a vu naître :

25

Né le 20 avril 1895 à Paris, devenu pratiquement aveugle, je me suicide dans la capitale le 21 septembre 1972. Romancier, essayiste, auteur dramatique et académicien, on me doit des œuvres comme "La reine morte" en 1942 ou " Le Maître de Santiago" en 1947. Grièvement blessé en février 1918 par 7 éclats d'obus dans le dos, 1 seul sera extrait, je suis :

26

Comte, puis marquis, né en 1897 à Paris, fils d'Anna Gould, riche héritière américaine, ambassadeur d'abord attaché à Berlin auprès de Jacquin de Margerie de 1924 à 1925, secrétaire d'ambassade à Londres de 1934 à 1938, puis nommé ministre plénipotentiaire à Tanger au Maroc. Lieutenant d'artillerie à partir de 1917, je décède le 5 février 1946 à Paris, je me nomme :

27
Né en 1897 à Sallèles-d'Aude, sculpteur moderne, on me doit des œuvres réputées comme  Déchirée  en 1940 ou le monument aux morts d'Ouveillan (Aude) en 1927. Devançant mon appel en me vieillissant de 2 ans en mars 1915, blessé plusieurs fois à la bataille de Verdun et gazé très sérieusement en 1918. Membre de la résistance dès l'été 1940, je décède à Paris en 1954 :

Né en 1897 à Sallèles-d'Aude, sculpteur moderne, on me doit des œuvres réputées comme "Déchirée" en 1940 ou le monument aux morts d'Ouveillan (Aude) en 1927. Devançant mon appel en me vieillissant de 2 ans en mars 1915, blessé plusieurs fois à la bataille de Verdun et gazé très sérieusement en 1918. Membre de la résistance dès l'été 1940, je décède à Paris en 1954 :

28

11 novembre 1918, 5h15 min, l'armistice est signé et le cessez-le-feu est effectif à 11h. A 10h55 min, un soldat de 1ère classe mobilisé depuis 1914 est abattu d'une balle dans la tête, alors qu'il porte un message à son capitaine dans le village de Vrigne-Meuse (Ardennes), il reste dans l'histoire comme le dernier soldat français mort pour la France de la 1ère Guerre mondiale, il s'appelait...

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29

Quelle est la date et l'année du traité de Versailles, qui met avec ce traité de paix définitivement fin à la 1ère Guerre mondiale ?

30

Né le 24 décembre 1897 à Bettola (Italie) et décédé le 12 mars 2008 au Kremlin-Bicêtre, trichant sur mon âge, je m'engage dès 1914 en France, n'ayant pas la nationalité française, je suis démobilisé en mai 1915 pour l'Italie qui vient de rentrer en guerre avec les alliés, je reviens en France en 1920, dernier vétéran français de la 1ère guerre mondiale, je me nomme :