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Classique
Quiz Paris

Quiz Cimetière du Père Lachaise (2) - Personnalités - lettres C et D

145 joués - il y a 10 ans

Suite de la visite du plus grand cimetière de Paris avec ces personnalités qui ont par leurs talents, révolutionnés leurs arts ou notre histoire.

 

Normal QUIZ 30 QUESTIONS
normal
1
Né en 1748 à Paris, peintre de l'empire, je suis, sous la Restauration, accusé et exilé à cause de mon passé révolutionnaire et impérial. Réfugié à Bruxelles, j'y décède le 29 décembre 1825. Le gouvernement français refusant que ma dépouille revienne en France, je suis toujours en Belgique, seul mon coeur repose au cimetière du Père Lachaise auprès de ma compagne dans la division n°56. Je suis :

Né en 1748 à Paris, peintre de l'empire, je suis, sous la Restauration, accusé et exilé à cause de mon passé révolutionnaire et impérial. Réfugié à Bruxelles, j'y décède le 29 décembre 1825. Le gouvernement français refusant que ma dépouille revienne en France, je suis toujours en Belgique, seul mon coeur repose au cimetière du Père Lachaise auprès de ma compagne dans la division n°56. Je suis :

2
Né le 18 octobre 1753 à Montpellier, je suis un politicien nommé 2ème consul en janvier 1800, archichancelier en 1804, duc de Parme du 24 avril 1808 au 1814 et nommé Pair de France le 2 juin 1815. Je m'exile après la chute définitive de Napoléon Ier à Bruxelles jusqu'en 1818. Je décède à Paris le 8 mars 1824 et suis enterré dans la division n°39. Je m'appelle :

Né le 18 octobre 1753 à Montpellier, je suis un politicien nommé 2ème consul en janvier 1800, archichancelier en 1804, duc de Parme du 24 avril 1808 au 1814 et nommé Pair de France le 2 juin 1815. Je m'exile après la chute définitive de Napoléon Ier à Bruxelles jusqu'en 1818. Je décède à Paris le 8 mars 1824 et suis enterré dans la division n°39. Je m'appelle :

3
Comte de Chanteloup né le 5 juin 1756 à Nojaret (Lozère), je suis un chimiste et politicien. Améliorateur de l'acide chlorhydrique et père d'un procédé (portant mon nom) permettant d'augmenter la teneur en alcool des vins par sucrage. Je meurs dans la pauvreté le 29 juillet 1832 à Paris, ruiné par les dettes de mon fils. Je suis Inhumé dans la division n°89. Je me nomme :

Comte de Chanteloup né le 5 juin 1756 à Nojaret (Lozère), je suis un chimiste et politicien. Améliorateur de l'acide chlorhydrique et père d'un procédé (portant mon nom) permettant d'augmenter la teneur en alcool des vins par sucrage. Je meurs dans la pauvreté le 29 juillet 1832 à Paris, ruiné par les dettes de mon fils. Je suis Inhumé dans la division n°89. Je me nomme :

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4
Né à Brûlon (Sarthe) le 25 décembre 1763, je suis l'inventeur qui a mis au point la communication par sémaphore (système contrôlé par 2 manettes et permettant d'envoyer des signaux télégraphiques). Premier entrepreneur des télécommunications de l'histoire, dépressif, je me suicide en me jetant dans un puits de chez moi le 23 janvier 1805 à Paris. Je me situe dans la division n°29 :

Né à Brûlon (Sarthe) le 25 décembre 1763, je suis l'inventeur qui a mis au point la communication par sémaphore (système contrôlé par 2 manettes et permettant d'envoyer des signaux télégraphiques). Premier entrepreneur des télécommunications de l'histoire, dépressif, je me suicide en me jetant dans un puits de chez moi le 23 janvier 1805 à Paris. Je me situe dans la division n°29 :

5
Maréchal d'Empire, duc d'Auerstaedt (Allemagne) puis prince d'Echmülh (Bavière), je suis né en 1770 à Annoux (Yonne). Disgracié en 1815 après la chute de Napoléon, je réapparais à la cour de Louis XVIII en 1818. Entré à la chambre des pairs en 1819, je me rallie à la Restauration. Maire de Savigny-sur-Orge de 1822 à 1823. Je m'éteins en 1823 et je suis inhumé dans la division n°28, je suis :

Maréchal d'Empire, duc d'Auerstaedt (Allemagne) puis prince d'Echmülh (Bavière), je suis né en 1770 à Annoux (Yonne). Disgracié en 1815 après la chute de Napoléon, je réapparais à la cour de Louis XVIII en 1818. Entré à la chambre des pairs en 1819, je me rallie à la Restauration. Maire de Savigny-sur-Orge de 1822 à 1823. Je m'éteins en 1823 et je suis inhumé dans la division n°28, je suis :

6
Né dans la commune de Caulaincourt (Aisne) en 1773, diplomate et aide de camp de Napoléon 1er, ce dernier me nomme Général de brigade en août 1803 puis duc de Vicence (Italie) en 1808. Fidèle parmi les fidèles, devant accompagner l'empereur dans son 2ème exil, mais je suis retenu par le tsar Alexandre Ier qui s'y oppose. Je décède à Paris en 1827 et je suis enterré dans la division n°28, je suis :

Né dans la commune de Caulaincourt (Aisne) en 1773, diplomate et aide de camp de Napoléon 1er, ce dernier me nomme Général de brigade en août 1803 puis duc de Vicence (Italie) en 1808. Fidèle parmi les fidèles, devant accompagner l'empereur dans son 2ème exil, mais je suis retenu par le tsar Alexandre Ier qui s'y oppose. Je décède à Paris en 1827 et je suis enterré dans la division n°28, je suis :

7
Né en 1790 à Figeac (Lot), père de l'égyptologie, je déchiffre à partir de 1821 les premiers cartouches royaux en décryptant celui de Ptolémée V sur la pierre de Rosette. Parti en mission scientifique de 1828 à 1830, je reviens en décembre 1829, malade. Je décède à Paris en 1832 apparemment d'une bilharziose (maladie parasitaire due à un ver), ma tombe se situe dans la division n°18, je suis :

Né en 1790 à Figeac (Lot), père de l'égyptologie, je déchiffre à partir de 1821 les premiers cartouches royaux en décryptant celui de Ptolémée V sur la pierre de Rosette. Parti en mission scientifique de 1828 à 1830, je reviens en décembre 1829, malade. Je décède à Paris en 1832 apparemment d'une bilharziose (maladie parasitaire due à un ver), ma tombe se situe dans la division n°18, je suis :

8
Né au Puy-en-Velay (Haute-Loire) le 18 février 1795, bronzier d'art, fondeur et mécène, je suis connu pour avoir (1833) été chargé de la fonte de la statue de Napoléon 1er situé au sommet de la colonne Vendôme. Elle sera remplacée au second Empire par une autre statue de l'empereur réalisée par Auguste Dumont. Je décède à Paris le 8 février 1855. Je suis inhumé dans la division n°49. Je suis :

Né au Puy-en-Velay (Haute-Loire) le 18 février 1795, bronzier d'art, fondeur et mécène, je suis connu pour avoir (1833) été chargé de la fonte de la statue de Napoléon 1er situé au sommet de la colonne Vendôme. Elle sera remplacée au second Empire par une autre statue de l'empereur réalisée par Auguste Dumont. Je décède à Paris le 8 février 1855. Je suis inhumé dans la division n°49. Je suis :

9
Peintre, né en juillet 1796 à Paris, je suis considéré comme l'un des fondateurs de l'École de Barbizon. On me doit des oeuvres comme  Tivoli, les jardins de la Villa d'Este  en 1843 et exposé au Louvre, ou  Le Concert Champêtre  en 1857 et se trouvant au musée Condé à Chantilly. Je m'éteins des suites d'un cancer de l'estomac à Paris le 22 février 1875, je repose dans la division n°24, je suis :

Peintre, né en juillet 1796 à Paris, je suis considéré comme l'un des fondateurs de l'École de Barbizon. On me doit des oeuvres comme "Tivoli, les jardins de la Villa d'Este" en 1843 et exposé au Louvre, ou "Le Concert Champêtre" en 1857 et se trouvant au musée Condé à Chantilly. Je m'éteins des suites d'un cancer de l'estomac à Paris le 22 février 1875, je repose dans la division n°24, je suis :

10
Né à Charenton Saint-Maurice (Val-de-Marne) en 1798, je suis un peintre du mouvement Romantique. J'ai peint  jeune orpheline au cimetière  en 1824 et exposé au Louvre, ou encore  les deux Foscari  en 1855 et qui se situe au musée Condé à Chantilly. Je meurs d'une crise d'hémoptysie, suite d'une tuberculose le 13 août 1863 à Paris. Je repose dans la division n°49, je suis :

Né à Charenton Saint-Maurice (Val-de-Marne) en 1798, je suis un peintre du mouvement Romantique. J'ai peint "jeune orpheline au cimetière" en 1824 et exposé au Louvre, ou encore "les deux Foscari" en 1855 et qui se situe au musée Condé à Chantilly. Je meurs d'une crise d'hémoptysie, suite d'une tuberculose le 13 août 1863 à Paris. Je repose dans la division n°49, je suis :

11

Né à Marseille en 1808, graveur, caricaturiste, peintre et sculpteur, mes oeuvres commentent la vie sociale et politique du XIXe siècle. Dessinateur prolifique, connu pour mes caricatures politiques, je me moque allègrement du comportement de mes compatriotes. Auteur d'environ 4 000 lithographies et de 94 toiles. Décédé à Valmondois (Val-d'Oise) en 1879 je repose dans la division n°24, je suis :

12
Né le 1er mars 1810 à Zélazowa Wola (Pologne), compositeur et pianiste, émigré en France, on me doit des oeuvres comme  Sonate pour piano n°1 en ut mineur  en 1828 ou  Boléro en do majeur  en 1833. Je suis connu, aussi, pour avoir été l'amant de George Sand pendant 9 ans. Je décède le 17 octobre 1849 à Paris et je suis inhumé dans la division n°11, je me nomme :

Né le 1er mars 1810 à Zélazowa Wola (Pologne), compositeur et pianiste, émigré en France, on me doit des oeuvres comme "Sonate pour piano n°1 en ut mineur" en 1828 ou "Boléro en do majeur" en 1833. Je suis connu, aussi, pour avoir été l'amant de George Sand pendant 9 ans. Je décède le 17 octobre 1849 à Paris et je suis inhumé dans la division n°11, je me nomme :

13
Né le 22 octobre 1814 à Besançon, je suis sculpteur et artiste peintre. Auteur du marbre comme  Femme piquée par un Serpent  en 1847 ou le monument funéraire de Frédéric Chopin en 1850. Gendre de George Sand avec mon mariage avec sa fille Solange Dudevant. Je m'éteins à Paris le 5 janvier 1883 à Paris et je repose dans la division n°10, je m'appelle :

Né le 22 octobre 1814 à Besançon, je suis sculpteur et artiste peintre. Auteur du marbre comme "Femme piquée par un Serpent" en 1847 ou le monument funéraire de Frédéric Chopin en 1850. Gendre de George Sand avec mon mariage avec sa fille Solange Dudevant. Je m'éteins à Paris le 5 janvier 1883 à Paris et je repose dans la division n°10, je m'appelle :

14
Je suis né le 15 février 1817 à Paris, artiste peintre de l'École de Barbizon, je suis considéré comme un des précurseurs de l'impressionnisme. Auteur entre autres de  Bords de l'Oise  en 1863, elle est exposée au musée d'art de Saint-Louis (Missouri, USA). Je décède dans la capitale le 19 février 1878 et je suis inhumé dans la division n°24, je suis :

Je suis né le 15 février 1817 à Paris, artiste peintre de l'École de Barbizon, je suis considéré comme un des précurseurs de l'impressionnisme. Auteur entre autres de "Bords de l'Oise" en 1863, elle est exposée au musée d'art de Saint-Louis (Missouri, USA). Je décède dans la capitale le 19 février 1878 et je suis inhumé dans la division n°24, je suis :

15
Je me nomme Virginia Oldoïni, comtesse née à La Spézia (Italie), espionne, aristocrate piémontaise et maîtresse de Napoléon III de 1856 à 1857. Considérée comme une des plus belles femmes de mon époque, je deviens, dans les années 1880, neurasthénique et misanthropique. Je m'éteins à Paris le 28 novembre 1899 dans l'anonymat le plus complet. Je repose dans la division n°85, je me nomme :

Je me nomme Virginia Oldoïni, comtesse née à La Spézia (Italie), espionne, aristocrate piémontaise et maîtresse de Napoléon III de 1856 à 1857. Considérée comme une des plus belles femmes de mon époque, je deviens, dans les années 1880, neurasthénique et misanthropique. Je m'éteins à Paris le 28 novembre 1899 dans l'anonymat le plus complet. Je repose dans la division n°85, je me nomme :

16
Écrivain et auteur dramatique né à Nîmes (Gard) le 13 mai 1840, on me doit des oeuvres comme  Tartarin de Tarascon  (1872) ou  Les lettres de mon moulin  (1869). Atteint d'une maladie incurable de la moelle épinière appelée  tabes dorsalis , et par une complication neurologique dut à la syphilis, je décède le 16 décembre 1897 à Paris. Je repose dans la division n°26 :

Écrivain et auteur dramatique né à Nîmes (Gard) le 13 mai 1840, on me doit des oeuvres comme "Tartarin de Tarascon" (1872) ou "Les lettres de mon moulin" (1869). Atteint d'une maladie incurable de la moelle épinière appelée "tabes dorsalis", et par une complication neurologique dut à la syphilis, je décède le 16 décembre 1897 à Paris. Je repose dans la division n°26 :

17
Né en 1845 à Monbazillac (Dordogne), aéronaute, je réalise avec Théodore Sivel, une ascension en ballon à 7 300 m le 22 mars 1874 et participe les 23 et 24 mars 1875 à bord de la montgolfière  Le Zénith  au record de durée de vol qui est de 22 h 40 mn. Je meurs dans ce ballon le 15 avril 1875 avec le capitaine Sivel, asphyxié lors d'une ascension. Je suis inhumé dans la division n°71, je suis :

Né en 1845 à Monbazillac (Dordogne), aéronaute, je réalise avec Théodore Sivel, une ascension en ballon à 7 300 m le 22 mars 1874 et participe les 23 et 24 mars 1875 à bord de la montgolfière "Le Zénith" au record de durée de vol qui est de 22 h 40 mn. Je meurs dans ce ballon le 15 avril 1875 avec le capitaine Sivel, asphyxié lors d'une ascension. Je suis inhumé dans la division n°71, je suis :

18
Peintre, collectionneur, mécène et organisateur d'expositions d'art impressionniste, né en 1848 à Paris, je n'hésite pas à aider mes contemporains de ce mouvement artistique en achetant leurs toiles ou en leur prêtant de l'argent. Aussi reconnut pour être un excellent architecte naval et régatier. Je décède d'une congestion cérébrale à Gennevilliers en 1894. Inhumé dans la division n°70, je suis :

Peintre, collectionneur, mécène et organisateur d'expositions d'art impressionniste, né en 1848 à Paris, je n'hésite pas à aider mes contemporains de ce mouvement artistique en achetant leurs toiles ou en leur prêtant de l'argent. Aussi reconnut pour être un excellent architecte naval et régatier. Je décède d'une congestion cérébrale à Gennevilliers en 1894. Inhumé dans la division n°70, je suis :

19

Journaliste, romancier et dramaturge, je suis né le 25 novembre 1857 à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), plus connu sous les noms de Canalis et Graindorge pour le journal "Le Figaro", je suis l'auteur de pièces de théâtre comme "Hélène Ardouin" en 1913 ou du roman "qui perd gagne" en 1890. Je décède le 1er novembre 1922 à Neuilly-sur-Seine. Inhumé dans la division n°93, je m'appelle :

20
Né en 1858, romancier et dramaturge, fils de Joseph Moineaux plus connu sous le nom de Jules Moinaux écrivain et auteur de théâtre, suivant ces pas j'écris des œuvres comme  Les gaietés de l'escadron  en 1886. Mort en 1929 à Paris, inhumé dans la division n°89, je laisse cette épitaphe  J'étais né pour rester jeune et j'ai eu l'avantage de m'en apercevoir le jour où j'ai cessé de l'être . Je suis :

Né en 1858, romancier et dramaturge, fils de Joseph Moineaux plus connu sous le nom de Jules Moinaux écrivain et auteur de théâtre, suivant ces pas j'écris des œuvres comme "Les gaietés de l'escadron" en 1886. Mort en 1929 à Paris, inhumé dans la division n°89, je laisse cette épitaphe "J'étais né pour rester jeune et j'ai eu l'avantage de m'en apercevoir le jour où j'ai cessé de l'être". Je suis :

21
Née à Saint Sauveur-en-Puissaye (Yonne) en 1873, romancière, élue membre de l'Académie Goncourt en 1945, on me doit des œuvres comme  Claudine à l'école  en 1900. Connue pour ma bisexualité assumée, cela ne m'empêche pas de me marier 3 fois. Je m'éteins en 1954 à Paris et suis la 1re femme à qui la République accorde des obsèques nationales. Inhumée dans la division n°4 avec ma fille, je suis :

Née à Saint Sauveur-en-Puissaye (Yonne) en 1873, romancière, élue membre de l'Académie Goncourt en 1945, on me doit des œuvres comme "Claudine à l'école" en 1900. Connue pour ma bisexualité assumée, cela ne m'empêche pas de me marier 3 fois. Je m'éteins en 1954 à Paris et suis la 1re femme à qui la République accorde des obsèques nationales. Inhumée dans la division n°4 avec ma fille, je suis :

22
Née en 1874 à Rueil-Malmaison, historienne d'art, défendant l'honneur de mon mari alors ministre des Finances, j'assassine le 16 mars 1914 le journaliste et directeur du  Figaro  Georges Calmette, que ce quotidien accuse de malversations. Jugée en juillet 1914, j'obtiens l'acquittement pour crime passionnel. Décédée en 1943 à Mansers (Sarthe), je suis inhumée dans la division n°58, je suis :

Née en 1874 à Rueil-Malmaison, historienne d'art, défendant l'honneur de mon mari alors ministre des Finances, j'assassine le 16 mars 1914 le journaliste et directeur du "Figaro" Georges Calmette, que ce quotidien accuse de malversations. Jugée en juillet 1914, j'obtiens l'acquittement pour crime passionnel. Décédée en 1943 à Mansers (Sarthe), je suis inhumée dans la division n°58, je suis :

23
Politicien, je suis né à Carpentras (Vaucluse) en juin 1884. Député de 1919 à 1940 puis de 1946 à 1958, plusieurs fois président du Conseil des ministres de 1933 à 1940, j'occupe aussi pendant cette période, entre autres, les rôles de ministre de la guerre, des affaires étrangères et 2 fois celui de la défense nationale. Je m'éteins à Paris en 1970 et repose dans la division n°72, je suis :

Politicien, je suis né à Carpentras (Vaucluse) en juin 1884. Député de 1919 à 1940 puis de 1946 à 1958, plusieurs fois président du Conseil des ministres de 1933 à 1940, j'occupe aussi pendant cette période, entre autres, les rôles de ministre de la guerre, des affaires étrangères et 2 fois celui de la défense nationale. Je m'éteins à Paris en 1970 et repose dans la division n°72, je suis :

24
Mon vrai nom est Claude-Marie Eugène Legrand, fils du poète Franck Nohain et père du comédien qui porte le même nom d'artiste que moi se prénommant Jean-Claude, je suis né à Corbeil-Essonnes en 1903. Acteur, je joue dans des films comme  Casque d'Or  (1951) ou j'incarne le rôle de  Félix Lecas . Je meurs d'une occlusion intestinale à Paris en novembre 1978 et repose dans la division n°89, je suis

Mon vrai nom est Claude-Marie Eugène Legrand, fils du poète Franck Nohain et père du comédien qui porte le même nom d'artiste que moi se prénommant Jean-Claude, je suis né à Corbeil-Essonnes en 1903. Acteur, je joue dans des films comme "Casque d'Or" (1951) ou j'incarne le rôle de "Félix Lecas". Je meurs d'une occlusion intestinale à Paris en novembre 1978 et repose dans la division n°89, je suis

25
Réalisateur, scénariste et adaptateur de cinéma, de mon vrai nom Christian Albert François Maudet, je suis né à Paris le 4 septembre 1904. Je réalise des films comme  les disparus de Saint-Agil  en 1938 ou  Fanfan la Tulipe  en 1952. Je succombe d'une crise cardiaque le 8 juillet 1994 et repose dans la division n°85. Mais sous quel nom suis-je plus connu ?

Réalisateur, scénariste et adaptateur de cinéma, de mon vrai nom Christian Albert François Maudet, je suis né à Paris le 4 septembre 1904. Je réalise des films comme "les disparus de Saint-Agil" en 1938 ou "Fanfan la Tulipe" en 1952. Je succombe d'une crise cardiaque le 8 juillet 1994 et repose dans la division n°85. Mais sous quel nom suis-je plus connu ?

26
Mon nom est Bruno Coquatrix, né à Ronchin (Nord) en 1910 et décédé à Paris en 1979, je suis inhumé dans la division n°96. Commençant ma carrière comme auteur-compositeur (environ 300 chansons et opérettes), je deviens imprésario puis directeur de la salle de spectacle de Bobino. Je reprends en 1954 la direction d'une salle de music-hall que l'on associe à mon nom, mais laquelle ?

Mon nom est Bruno Coquatrix, né à Ronchin (Nord) en 1910 et décédé à Paris en 1979, je suis inhumé dans la division n°96. Commençant ma carrière comme auteur-compositeur (environ 300 chansons et opérettes), je deviens imprésario puis directeur de la salle de spectacle de Bobino. Je reprends en 1954 la direction d'une salle de music-hall que l'on associe à mon nom, mais laquelle ?

27
Né à Paris en juin 1930, réalisateur, producteur, acteur, scénariste et dialoguiste, je réalise entre autres des films comme  Le Beau Serge  en 1959 ou  La Femme infidèle  en 1969. Reconnu comme fin gourmet et comme quelqu'un de très jovial. Je succombe à des problèmes respiratoires suite à un lymphome (cancer du système lymphatique) en septembre 2010. Je repose dans la division n°10, je suis :

Né à Paris en juin 1930, réalisateur, producteur, acteur, scénariste et dialoguiste, je réalise entre autres des films comme "Le Beau Serge" en 1959 ou "La Femme infidèle" en 1969. Reconnu comme fin gourmet et comme quelqu'un de très jovial. Je succombe à des problèmes respiratoires suite à un lymphome (cancer du système lymphatique) en septembre 2010. Je repose dans la division n°10, je suis :

28
Comédienne, de mon vrai nom Élisabeth Simone Juliette Clémence Hugon, je suis née le 24 novembre 1934 à Boulogne-sur-Mer. Actrice de cinéma et de théâtre, j'interprète des rôles comme Esther dans  une histoire simple  de Claude Sautet en 1978. Épouse de Guy Bedos de 1965 à 1977, je décède le 1er janvier 2004 à Paris et repose dans la division n°44. Je me nomme :

Comédienne, de mon vrai nom Élisabeth Simone Juliette Clémence Hugon, je suis née le 24 novembre 1934 à Boulogne-sur-Mer. Actrice de cinéma et de théâtre, j'interprète des rôles comme Esther dans "une histoire simple" de Claude Sautet en 1978. Épouse de Guy Bedos de 1965 à 1977, je décède le 1er janvier 2004 à Paris et repose dans la division n°44. Je me nomme :

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29
Né le 7 août 1943 à Meung-sur-Loire (Loiret), je suis le réalisateur ayant tourné entre autres des films comme  Police-python 357  en 1976 ou  tous les matins du monde  en 1991. Je succombe des suites d'un cancer du poumon dans la nuit du 29 au 30 août 2010. Je repose au côté de ma belle-fille Marie Trintignant dans la division n°45, je suis :

Né le 7 août 1943 à Meung-sur-Loire (Loiret), je suis le réalisateur ayant tourné entre autres des films comme "Police-python 357" en 1976 ou "tous les matins du monde" en 1991. Je succombe des suites d'un cancer du poumon dans la nuit du 29 au 30 août 2010. Je repose au côté de ma belle-fille Marie Trintignant dans la division n°45, je suis :

30
Metteur en scène de théâtre et d'opéra, réalisateur, scénariste et acteur, je suis né le 2 novembre 1944 à Léssigné (Maine-et-Loire). Je réalise des films comme  Hôtel de France  1987 ou  La Reine Margot  en 1991, décédé des suites d'un cancer du poumon le 7 octobre 2013 à Clichy (Hauts-de-Seine) , je repose au Père Lachaise. Je suis :

Metteur en scène de théâtre et d'opéra, réalisateur, scénariste et acteur, je suis né le 2 novembre 1944 à Léssigné (Maine-et-Loire). Je réalise des films comme "Hôtel de France" 1987 ou "La Reine Margot" en 1991, décédé des suites d'un cancer du poumon le 7 octobre 2013 à Clichy (Hauts-de-Seine) , je repose au Père Lachaise. Je suis :