Quel est votre pire souvenir d'école ?

Aucun bons souvenir de ma scolarité. J'ai toujours été considérée comme la petite timide renfermée et moche de la primaire au collège. J'ai été toujours seule, jamais de vrai amis. Le lycé n'a fait que renforcer ce sentiment de rejet et de solitude. On s'est toujours moqué de moi sur mon physique et aujourd'hui ma tenue vestimentaire. Mais j'ai décidé de devenir aussi méchante que ceux qui m'ont fais souffrir et j'arrive à traverser les couloirs la tête à demi relevée.
Je n'avais pas compris pourquoi certaine personne était aussi méchante gratuitement mais maintenant je sais qu'ils font ça parce qu'ils ont peur et surtout parce qu'ils sont très stupide.
En tout cas je garderais un très mauvais souvenir de ma scolarité.

avoir été punie,alors que j'étais absente de la classe.
lorsque mes amies me l'ont raconté,je suis entrée dans une colère noire contre ce prof et la suite n'a pas arrangée les choses car dans ces années là,se révolteR contre l'injustice ...

Dites donc, c'est assez noir comme tableau, j'imagine les plus jeunes qui lisent ce forum...

Claire a sans doute raison en suggérant un sujet sur le contraire et les bons souvenirs d'école...

Job, quand je lis cela, sur de telles méthodes prétendument d'éducation des enfants, dans une période finalement pas si ancienne que çà, je suis effarée de ce que les parents, le gouvernement et la société dans son ensemble faisaient alors supporter aux enfants, dans une optique d'éducation. Nous sommes des barbares, des ignorants...

Ceux qui se font ou se sont faits plus ou moins agressés verbalement ou autrement à l'école pour des moqueries sur les vêtements ou le physique, dites-vous d'abord qu'il s'agit de points de détail qui n'ont rien à voir avec votre personnalité. Car vous n'êtes pas ce que vous portez, surtout dans l'enfance et l'adolescence où vous ne portez pas toujours ce que vous voulez, mais ce qu'on vous achète. Et vous n'êtes pas des détails physiques, sur lesquels vous n'avez pas de prises non plus d'ailleurs.

c'est souvent parce que sous ce que les autres voient un peu rapidement comme des personnes "faibles" ( dans le sens qui ne se défendront pas ou qui sont gentils ou dépassés par la violence, donc faciles à moquer car le moqueur ne prend aucun risque)ou "différents" ils sentent généralement malgré eux une personnalité indépendante et plus forte qu'il n ne paraît, et c'est cela qui exacerbe l'attention et la volonté de casse, qui sont mal dans leur peau aussi.

Et la meute des autres, qui ne savent que se ranger sous la bannière du plus fort, suit généralement.
Qu'importe, continuez à bosser, et dites-vous bien que la vie vous donne le plus souvent l'occasion d'une revanche (pas une vengeance) plus tard. Rien ne sert de calquer sa personnalité sur ces personnes là, Nice.

Plus tard, on retrouve les relents de ce genre de comportement en entreprises par exemple, ou ailleurs.

Oui je le sais bien. Ma mère m'a souvent dit que certains de ses collègues étaient aussi gamins que les lycéens. Je trouve ça vraiment pathétique surtout pour des mecs de 40 ans.

Disons que c'est un penchant naturel des humains vivant en société, et que la civilisation consiste justement à canaliser ces penchants... Mais personne n'est irréprochable et sous contrôle tout le temps, c'est impossible.

Ce que je déteste à l'école, c'est les moqueries, du fait de l'âge, et de la couleurs de peau ! Mais bon il faut passer par dessus, et ne pas faire attentions.

dans notre lycée personne ne critique la couleur de peau (le dernier qui a dit "bougnoul" c'est retrouvé avec une côte et deux doigts cassés)
et en général personne ne se risque à nous critiquer (de toute façon on a pas un physique critiquable sauf qu'on s'habille et se coiffe pareil) et ceux qui le font ne recommencent jamais
depuis la primaire (voire même avant) ceux qui se moquent se prennent la honte de leur vie et ne recommencent pas
ceux qui critiquent nos amies s'en prennent plein la g....e aussi et ne recommencent donc pas

Je ne suis pas sûr que la violence soit la meilleur des chose.

on n'est pas violentes, on verbalise ce n'est pas pareil
et quant au gars qui a séjourné à l'hôpital il cherche toujours tout le monde et ce jour là il s'est frotté à la mauvaise personne