Du cheval pour du boeuf !

On ne sait vraiment pas ce qu'il y a dans nos assiettes. Après les nombreux scandales sanitaires, maintenant, il y a tromperie sur la marchandise. Qu'en pensez-vous ?

Pour ma part, je pense qu'il est temps aux états d'imposer aux industries agro-alimentaires et aux distributeurs de rapprocher le lieu de production du lieu de consommation, ce qui facilite la traçabilité, réduit les coups de transport et maintient des emplois locaux. C'est une idée qui plait autant aux écologistes qu'aux nationalistes. Même si j'ai conscience qu'il est difficile d'imposer des choses à des "monstres" comme Carrefour, Nestlè ou Danone.

De toute façon, cheval ou boeuf, ces plats c'est de la merde ! (et ce qu'on vient de découvrir doit être tout à fait anecdotique, pour faire du fric y'a du monde)

Goupilox juridiquement on dit qu'il y a dol!

déjà il y a erreur sur la qualité substancielle de la chose ( on achete du cheval présenté comme du boeuf) et il y a volonté de trompé

https://fbcdn-sphotos-g-a.aka…

Cox, la faim de le mode est un sujet à part entière pour lequel tu peux ouvrir un forum et y adorer des questions telles que la spéculation sur les matières premières ou les chefs d'états africains qui ont alimenté leurs comptes bancaires avec les fonds reçus de l'ONU ou des pays industrialisés, ou, encore l'inégalité de la répartition des richesses à travers le monde. Si je suis ta logique, on pourrait envoyer des conserves de porc, au sahel, sous prétexte que des gens ont faim, chose qui est intolérable sur le principe.

Tu n'as rien compris à mon geste.
Je ne souhaite pas ouvrir un débat sur la faim dans la monde.
Je voulais simplement faire remarquer que le débat qui nous occupe est risible.
Mais continuez à débattre, je ne faisais que donner mon avis.

...pourvu que l'on ne trouve pas le jockey avec le cheval...

Quand reviendrons-nous aux manèges avec des chevaux de bois.....
A l'époque, quand on descendait de son cheval, on claquait la porte avant de partir

Tu as raison Cox, ce dessin est excellent.

Si on regarde le problème sur le plan de la fraude ou du moins de la négligence, vendre du cheval pour du boeuf démontre qu'on prend les consommateurs pour des imbéciles. Au-delà de l'échange des viandes, cela pose des questions plus inquiétantes : si on a pu nous abuser sur la nature de la viande vendue, sur quoi d'autre nous a-t-on menti ? Quel est l'état sanitaire de cette viande de cheval ?
Je trouve assez ironique que ce soit au Royaume-Uni, pays du libéralisme débridé, que ce scandale a éclaté.