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 » Les 50 derniers sujets Art et Littérature » Littérature, poésie 

Modérateurs :     Alex    Darktowerfanatic    Jeffcoop   

10 Fév. 2011 11h04
Inscrit il y a 14 ans
222 msgs
   un choix
tu avais ma confiance
je t'es donner une chance
tu est rester la
et je ne savais pas pourquoi
...je veux partir un jour
pour pouvoir trouver l'amour
peut etre un mois pour pouvoir mes choix
viens chez moi la bas mais pas la
pars comme si tu était un guépard pars
laisse moi faire mes choix

Un petit message,
Pour te dire que tournent des pages.

Les pages sont les années,
Pendant toutes lesquelles tu nous as bercé, aimé.
...
Tu nous as appris la vie,
Grâce à toi on en sourit.

Tu nous as montré le bonheur,
Et as consolé nos peur,

Je t'écris ce petit mot aujourd'hui,
Pour te dire un grand merci.

De toutes les mamans tu es la meilleure,
Et je te garderai éternellement dans mon coeur

noel
noel c'est une merveille
des cadeaux il en faut
avec la neige on est a l'aise
les festins sont aussi pour les enfantins
...le fromage pour tout les ages
il faut danser car moi je sais
c'est la plus belle fete parce que personne fais la tete
on peut avoir un labrador pour avoir une vie en or
en résumé il faut danser chanter et s'amuser



 
8 Oct. 2011 9h28
poseidon606

 16 ans, Heillecourt
 5ème
53 quizz   37 sujets

Inscrit le 6 Déc. 2010
209 msgs
   Première :
La nuit froide
La nuit était froide, le vent soufflait légèrement, renforçant la fraîcheur nocturne qui enveloppait la rue, il était déjà tard dans la nuit et la ville était endormie. Seul bruit brisant le silence, des pas, des pas dans la rue, des pas lents, des pas las et traînants, c'étaient les pas d'un homme, grand, le visage caché par son long manteau, de lui on ne pouvait que distinguer des cheveux noirs hirsutes. La silhouette fine avançait à grands pas pour s'arrêter sous la lumière d'un réverbère, à l'angle de la rue.
La nuit était froide, le vent soufflait légèrement, renforçant la fraîcheur nocturne qui enveloppait la rue, il était déjà tard dans la nuit et la ville était endormie. Seul bruit brisant le silence, des pas, des pas dans la rue, des pas pressés, rapides et vifs, une jeune belle femme marchait dans la pénombre parsemée de flaques de lumière. Ses boucles blondes voletaient dans l'air, ses yeux d'un bleu azur, sa bouche fine, son corps fragile.
Arrivée à l'angle de la rue elle vit un homme, immobile, la fixant, il était vêtu d'un long manteau gris, couvert de boue, il avait des cheveux noirs ébouriffés qui accentuaient le côté inquiètent, soudain elle ressentit une douleur atroce sur le front, elle tomba par terre, sonnée. Elle sentit ses vêtements se déchirer, sentit la main froide du l'homme sur sa poitrine, ensuite, comme par dégoût de la suite, elle perdit connaissance.
L'homme se tenait droit quand à l'angle de la rue une jeune femme apparut, une magnifique blonde aux yeux bleu, ne pouvant plus se retenir, il la frappa avec le crosse du revolver caché dans la poche, quand la femme était à terre, il lui arracha ses vêtements, enleva son manteau sous lequel il était nu, et commença.
Cette histoire n'est pas celle d'un blonde aux yeux bleus et d'un homme aux cheveux mal soignés, non. C'est l'histoire de millions de femmes.

 
8 Oct. 2011 9h29
poseidon606

 16 ans, Heillecourt
 5ème
53 quizz   37 sujets

Inscrit le 6 Déc. 2010
209 msgs
   Poème d'un soldat
Je me réveille, tout s'écroule autour de moi.
"bombardement! bombardement!" criaient les autres hommes présent.
Pris de panique je me lève d'un bond, fusil à la main.
J'embrasse un pendentif accroché à mon cou, une photo de ma femme et de ma fille.
Je rejoins les autres hommes pour l'assaut.
Nous tremblons tous de peur, quand soudain l'ordre d'attaquer se fait entendre.
Sans réfléchir nous sortons de la tranchée et courons vers l'adversaire.
L'odeur âcre, mélange de poussière et de sang, les cris d'agonie des blessés, les cris de colère, les ordres en tout sens, un vacarme effroyable.
Puis plus rien, silence, pourtant tout le monde se bataille encore, je tombe par terre, glacé, la main contre ma poitrine, pourquoi? je saigne. Je suis touché.
Un vent froid de lève, je suis paralysé, je pleure.
Je revoit devant moi ma petite fille, Élise, apprenant à parler et à marcher, je revois ma belle femme, Élisabeth, m'embrasser avec amour, puis je la voit triste, Élise en pleurs dans ses bras, elles font leurs valises et partent avec un autre homme, Mickaël, un frère d'arme.
Je sens le battement de mon cœur diminuer, je vois la fin approcher.
Mickaël, le salaud qui m'as volé ma famille se penche au-dessus de moi, les larmes aux yeux, comme s'il n'avait rien fait.
Dans mes dernières réserves de force je prend le fusil et je tire.
J'ai tué un allemand qui allait tuer Mickaël avec sa baïonnette.
Puis un noir infini.
Décès du soldat Maurice, 16 avril 1917, 24 ans.
Décès du soldat Mickaël, 20 avril 1917, 22 ans


 
8 Oct. 2011 9h29
poseidon606

 16 ans, Heillecourt
 5ème
53 quizz   37 sujets

Inscrit le 6 Déc. 2010
209 msgs
   La routine d'un ado
Chaque matin son réveil sonne à six heures du, il donne chaque fois un coup dessus et le réveil tombe à chaque fois par terre. Il reste chaque fois couché encore un quart d'heure puis se lève, s'habille, ses vêtements placés chaque fois au même endroit. Il va ensuite dans la salle de bain et constate les dégâts de la soirée arrosée de la veille, il se rafraîchit le visage et applique chaque fois cette pommade contre l'acné qui ne sert strictement à rien. Puis il descend dans la salle à manger, mange des céréales avec du lait, toujours même marque de lait, même marque de céréales, même bol, déjà bien amoché par le temps et les chutes. Comme toujours il ne se lave pas les dents et oublie son sac de sport. Arrivé au lycée il regarde cette belle fille qui l'ignore toujours, puis il va saluer ses amis, l'un d'eux lui donne plusieurs cahiers puis il s'assied et recopie les devoirs, il sait très bien qu'il ne progresse pas comme ça, mais il s'en fiche. Passe ensuite une journée de cours ordinaire et ennuyeuse, bilan: un mot pour bavardage. Fin des cours, bref passage à la maison puis va rejoindre ses amis en boîte de nuit, comme toujours. Mais un soir, il ne rentre pas de boîte de nuit, inquiets, les parents allument la télévision:

Flash Info:
Nous venons d'apprendre à l'instant que trois jeunes sont morts dans un accident de voiture, le conducteur, de 16 ans seulement, n'avais pas de permis et était ivre, tout comme ses deux amis. Les premières expertises démontrent qu'après un choc violent contre un réverbère la voiture a pris feu, brûlant vifs les trois passagers. La police est en train de contacter les proches.
Et le téléphone sonna.
La routine s'écroule.

 
8 Oct. 2011 9h30
poseidon606

 16 ans, Heillecourt
 5ème
53 quizz   37 sujets

Inscrit le 6 Déc. 2010
209 msgs
   Nostalgie
Je me souvient des champs de lavande, je me souvient des vignobles et du soleil. Je me souvient du chant des cigales et des criquets. Je me souvient de ces belles journées et de ces douces nuits à tes côtés. Je me souvient de toi et de notre petit.Je me souvient de toi jouant avec lui, de lui qui parle pour la première fois. Je me souvient de ce camion, vous frappant de plein fouet, devant mes yeux impuissants. Je me souvient de l'enterrement, de l'alcool et de la drogue. Je me souvient de la dépression, des tentatives de suicide et de la violence. je me souvient de la pluie et de l'orage. Oui je me souvient de tout, et maintenant je regarde ce ciel gris et monotone pour la dernière fois, les larmes aux yeux, j'avance d'un pas, puis d'un autre, un dernier verre, une dernière cigarette, une dernière larme. Une révolver dans la main. Un tir. Je vous rejoint.


 
8 Oct. 2011 16h45
Super Premium, Modérateur
Cox
32 ans, Malmedy
Employé administratif
35 quizz   15 sujets

Inscrit il y a 16 ans
10119 msgs
   Évite les messages à la chaîne poseidon606, merci

Pour ce qui est de tes poèmes, ce n'est pas mon style, désolé

 
8 Oct. 2011 16h48
Post
24 ans, Nantes
252 quizz   24 sujets

Inscrit il y a 13 ans
595 msgs
   Pareille, je dirais plutôt que se sont des nouvelles.

 
8 Oct. 2011 19h36
poseidon606

 16 ans, Heillecourt
 5ème
53 quizz   37 sujets

Inscrit le 6 Déc. 2010
209 msgs
   Elle

Ses levres ont un gout qui ne s'oublie pas
Sa peau une odeur a nulle autre pareille
Ses yeux une couleur qui n'existe pas
Et c'est euphémisme de la dire seulement belle

Quand elle te regarde, elle te fait chavirer
Ses yeux sont saphir aux liseres dores
Quand elle passe, son parfum t'ennivre
D'une senteur d'Orient qui te donne envie de vivre

D'un grain tellement fin qu'il paraît invisible
Une peau si pure, tel le marbre d'une statue
D'une beaute incomparable, elle paraît inaccessible
Alors devant ce reve impossible, tu supplies qu'elle te tue

D'un baiser mortel, pour un repos eternel
Avec comme dernier souvenir celui d'un bonheur parfait
Reve inaccessible qui pour ta mort se realiserait
Qui aurait cru que trop de beaute te tuerait ?

Mais tu l'appelles de tout ton coeur, de tes voeux
Car alors la mort t'importerait tellement peu
Tant que tu pourrais l'enlacer une derniere fois
Sentir sur tes levres les siennes,d'une reine tu serais le roi


Fugace Douleur


Et soudain tout du long de ma joue coulent les larmes
Elles inondent le sol, recouvrent ma douleur
Et pourtant tout mon corps se revulse et s'enflamme
Il refuse, lui aussi, d'accepter que se brise mon coeur

Et je prie,
Pour que tu ne sois plus sienne
Pour qu'a nouveau tu sois mienne
Même si ma prière est vaine
Elle allège peu a peu ma peine
Et je prie...

On dit souvent, les gouttes font les grandes rivières
A elles seules, mes larmes auraient pu remplir une mer
Depuis longtemps déjà je suis las de leur goût amer
Las de refouler la douleur, las de mener seul cette guerre

Et je prie,
Pour que tu ne sois plus sienne
Pour qu'a nouveau tu sois mienne
Même si ma prière est vaine
Elle allège peu a peu ma peine
Et je prie...

Et toujours faire comme si, sourire malgré tout,
Les autres ne doivent pas savoir, ne rien montrer surtout,
Si les larmes coulent ce ne doit être qu'intérieurement
Elle seule a le droit de s'en douter seulement

Et je prie,
Pour que tu ne sois plus sienne
Pour qu'a nouveau tu sois mienne
Même si ma prière est vaine
Elle allège peu a peu ma peine
Et je prie...

Promet moi que je n'aurai jamais plus a réfléchir
Il me conviendra si parfaitement de ne plus faire qu'obéir
C'est un martyre bien doux que de ne plus t'embrasser
Comparé a celui de savoir que de toi je ne serais plus aimé

Et je prie,
Pour que tu ne sois plus sienne
Pour qu'a nouveau tu sois mienne
Même si ma prière est vaine
Elle allège peu a peu ma peine
Et je prie...

Si je dois vraiment, etre oblige d'y repenser
J'aimerais tant qu'a faire, me voir expliquer
Comment on a fait pour que les je t'aime cheri
Se transforment la semaine d'après en c'est fini

Et je prie,
Pour que tu ne sois plus sienne
Pour qu'a nouveau tu sois mienne
Même si ma prière est vaine
Elle allège peu a peu ma peine
Et je prie...

J'aime a dire que je suis heureux, que tout va bien
Les gens me croit souvent mais toujours a tort
Cela m'aide seulement a me persuader que je suis fort
Qui y verrait le contraire serait bien malin


Saison Après Saison



C'est la ronde des amours
Nuit après nuit, jour après jour
Elle s'activent et alternent
Comme sous la baguette d'un magicien
Et toi tu le sens bien mais ne vois rien
Après elles, tu cours a perdre haleine

Comme les saisons qui se relaient et te laissent éveillé,
L'ete est parti, l'automne est passée,
Il ne te reste que l'hiver et tes yeux pour pleurer
C'est déjà le crepuscule, et pour la 17eme fois, la fin d'une annee

Enfant, les fins etaient heureuses dans les livres que je lisait
C'est décidé, je porte plainte, j'ai été arnaqué
Non mais c'est vrai, ce n'est pas la vie que je voulais
Pour m'apprendre la vie, ils auraient mieux fait de me dire la vérité

A toi qui me lis, je vais te la dire, sans la travestir
Dans la vie attends toi toujours au pire
Ce que je vais te dire ne vas pas faire te faire rire
Mais c'est la verite et je ne vais pas te mentir

Si jamais un bonheur t'arrive, alors savoure le
Car si on te l'as offert ce n'est que pour mieux te le ravir
Il arrivera en effet un jour ou il decidera de partir
Et ce jour la tu ne pourras pas le retenir, ou si peu...


Belle Eternelle


Au détour d'une ruelle une musique se fait la belle.
Tu l'aimes tu l'admire elle est belle cette ritournelle.
Elle te trotte dans la tête, occupe tes pensées et ton esprit.
Mais déjà tu la voit qui s'enfuit et qui quitte ta vie.

Aie ! Tu as mal !

De ta vie tu aurais voulu que jamais elle ne sorte ?
Peut-être de ton coeur aurait tu du mieux fermer la porte ...
Elle y est entrée en reine et y a tout saccagé.
Aujourd'hui encore d'y repenser tu es tout retourné.

Aie ! Tu as mal !

Tu voudrais l'oublier et ne plus jamais y penser.
Mais rien a faire elle ne veut plus quitter ton coeur.
Au détour d'une ruelle, par une funeste journée d'été.
Tu t'es laissé capturer ton coeur, sans heurts.

Aie ! Tu as mal !

Tu l'aimais, tu l'admirais, elle était belle cette ritournelle.
Comment aurait tu pu imaginer alors, au détour de cette ruelle.
Que ce si court instant, ou tu l'ecouterais cette ritournelle,
Lui suffirait a emplir ta vie, d'une histoire a la fin cruelle.

Aie ! Tu as mal !

Depuis longtemps maintenant tu n'arrives plus a dormir
Dans ta tête il est trop profondément inscrit
Et malgré toi, tu n'arrête pas de le relire
Le nom de la belle qui a quitté ta vie et dont ton coeur est empli

Aie ! Tu as mal !

Tu ne sais pas, tu ne sais plus, as tu jamais su ?
Est-ce bien cette ritournelle qui t'occupe l'esprit entièrement ?
Ou bien cette femme qui doucement la fredonnait en marchant...
Peut-être bien les deux, c'est trop tard tu ne la reverra plus.

Aie ! Tu as mal !

L'amour est un jeu et tu as perdu, malheureux !!
Ne savais tu pas en commençant a jouer,
Qu'il n'y a qu'une règle dans ce monde de désabusés
C'est que tu ne dois jamais tomber amoureux

Aie ! Tu as mal !

Tu voudrais fuir a tout jamais ces places, ces gens
Qui tous semblent s'allier pour te rappeler les bons moments
T'aider a te souvenir de la douleur qui sourde
Et qui a porter tous les jours te semble si lourde

Aie ! Tu as mal !

Ca y est, c'est fini, c'est termine, tu en es sur, c'est elle qui te la dit.
Tu n'as aucun regret, tu estimes avoir fait ce qu'il fallait pour retarder cette fin
Elle t'as dit que tu n'etait pas assez important pr elle, mais tu l'avais compris
Et même si tu es convaincu que c'est une fille de reves, ce n'est plus celle qui peuple les tiens.

Ca y est ! Tu l'as oublie !

Tu lui as pardonne, tu ne lui en as jamais voulu
Tu ne dois qu'a toi même d'etre tombe amoureux
Ce n'est pas de sa faute si elle t'as rendu aussi heureux
Et quand bien meme elle l'aurait voulu elle ne l'aurait pas pu...


Affaires D'Une Vie



On ne forcent pas les choses
Elles partent comme elles eclosent
Le beau c'est l'éphémère
Et sûrement pas le contraire...
Alors apprécie leur fugace beauté
Les retenir ne serait que vanite
J'ai passe ma vie a courir après un but
Maintenant mon but est de courir après la vie...
Les autres sont toujours a cours de souffle
Alors je les regarde en riant de les voir qui s'essouflent....
Un jour mon bonheur leur dira: profites de la vie !
Elle est courte mais belle alors savoure la jusqu'a la lie !
Tu n'en as qu'une alors ne la rate pas
Ne reve plus ta vie, reveille toi et vis la.


 
23 Nov. 2011 14h17
Membre Confiance
Inscrit il y a 14 ans
4925 msgs
   Poseidon, il est bien beau, ce poème, mais le but, c'est de poster un des TES poèmes, enfin, je crois.

 
24 Nov. 2011 15h32
cocolita21

 
 
9 quizz   1 sujet

Inscrit le 14 Oct. 2011
7 msgs
   Toi

Yeux bleu ciel,
Peau soleil.
Brillante intelligence,
Jeunesse intense.
Immense rêverie,
Petites bêtises.
Voix mélodieuse,
Coeur harmonieux.
A mes yeux, tu es parfait.
A mon coeur, tu es tout.
Je t'aimais avant,
Je t'aime maintenant,
Et je t'aimerais toujours.


A mon mari.

 
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