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5 Avril 2022 11h17
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Bonjour Cloclo:
Oui, excuse, tu sais que j'ais du mal à m'exprimer correctement  Mais j'ais parlé avec mon cœur, car je ne peut entendre des propos pareils.
Personnellement, j'ais vécut trois mois sous les ponts de Compiègne, et s'était l'hiver. Se laver dans l'eau glacée de l'Oise, j'avais 18 ans, je ne m'entendais pas avec mes parents à cette époque, mais je travaillais en formation dans les travaux publics et je ne touchais qu'environ 4 000 Francs (à l'époque) par mois, pas assez pour prendre un appartement. Mon courrier s'était mon patron qui me le donnait car j'avais donné l'adresse de l'entreprise avec son accord, sachant ce que je vivais. De temps en temps, le weekend, je dormais à l'hôtel, ceux qui me permettait de me laver et d'avoir un peu de chaleurs, et mes collègues, je ne l'oublierai jamais, partagé leurs gamelles avec moi, malgré mon refus. Ces le service militaire qui m'a sauvé et permit de retrouver une vie stable, et de me remettre en bon terme avec mes parents, aujourd'hui on est soudé  , il faut être franc quand on est jeune on ne réfléchit pas bien et on peut prendre un mauvais chemin ce qui a été mon cas, je me croyais plus intelligent, mais je me suis rendu plus con .
Combiens de personnes perdent leurs emplois chaque jour ? Il y a 10 ans maintenant, je ne sais pas si vous vous en rappelez, cela a passé à la télévision, on fermait l'usine Uniroyalle de Clairoix, et près de 1 000 personnes se sont retrouvés sans emplois. Je me suis battus à leurs côtés dans la rue, mais aujourd'hui, combien n'ont toujours pas retrouver d'emplois ? Combiens ont divorcés et on vu leurs vies brisées ? Comment sont-ils dans la rue ou au RSA ? Et combiens se sont suicidés ? ENTRE 15 ET 30, d'après les derniers chiffres. Et cela était des travailleurs, ils n'ont rien demandé à l'État, à part une indemnité de licenciement plus fort, et combiens voudraient retrouvés un travail, un paquet, je le promet. Depuis la crise du COVID 19, allez dans le centre ville de Compiègne et vous verrez le nombre de magasins fermés définitivement, trop de charges et de pertes pour ses petites entreprises, comment voulez-vous qu'on embauche, si il n'y a pas de travail ou précaire, et ou on profite de votre faiblesse, cela est une honte  Et après on viendra me parler, d'égalité, liberté et fraternité, cela n'existe presque plus, chacun pense qu'à soit, et au lieu de cracher sur son voisin, ils devraient s'allier. Plus on est divisé, plus cela plait à nos politiques, alors pour une fois tenons nous la main comme le faisait nos anciens et plus ont sera nombreux, plus ils reculeront. Il y en a MARRE des marchés boursiers et des actionnaires qui sont comme des poux et vivre au crochet du labeur des gens, alors réveillez-vous, sans être un donneur de leçons, ni me prendre pour Dieu, car je suis qu'un grain de sable parmi tant d'autres, Macron dehors, mais même si je respecte les gens qui votent extrême, surtout par dépit, ne franchissait pas ce Rubicond, cela est dangereux, à jouer avec le feu on finit toujours par ce brûlé 
» modifié le 5 avril à 11h20 par Emilierouge
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C'est la première fois que tu seras assesseur ?
C’est toujours « too close to call » entre Mélenchon et Le Pen pour la 2e place ! 
Moins de 900 000 voies d’écart et encore 6% à dépouiller