Quiz Musiciens de jazz - 1

Né à Orange, ce musicien français, atteint d'une grave maladie des os à la naissance, n'en deviendra pas moins un très grand pianiste de jazz. Il fut le premier Français à signer pour le label américain Blue Note.

Né dans le Kentucky, ce vibraphoniste, pianiste et batteur, surnommé « Le lion », a donné ses lettres de noblesse au vibraphone en tant qu'instrument soliste. Il commença à être connu en Europe après avoir enregistré des disques qui furent envoyés aux soldats américains pendant la Seconde guerre mondiale. Il enregistra ses premiers disques avec Benny Goodman.

Ce génial trompettiste, né dans l'Illinois, commença à jouer de la trompette à 10 ans. Il collabora avec nombre de musiciens prestigieux. Il traversa pour la première fois l'Atlantique en 1949 pour se rendre à Paris et jouer à la salle Pleyel. Lors de ce voyage il fera la rencontre de Sartre, Vian, Picasso et celle qui restera pour toujours chère à son cœur, Juliette Gréco.

Né à Washington, ce pianiste, compositeur, arrangeur et chef d'orchestre, commença le piano à 7 ans et composa son premier morceau, « Soda fountain rag » à 16 ans. Ce roi du swing donnait à ses arrangements un style reconnaissable entre tous. Il s'est imposé comme l'un des plus grands compositeurs de son temps.

Né à Paris, ce musicien débuta sa carrière professionnelle comme violoniste et pianiste dans les cinémas, pour accompagner les films muets. Son partenariat avec Django Reinhardt donna naissance au swing manouche. Il fait partie des plus grands violonistes de jazz du 20ème siècle.

Né dans le New-Jersey, ce musicien commença sa carrière dans les cabarets de Harlem. Il fut un remarquable pianiste de blues et enregistra plusieurs solos. Mais il se distingua surtout pour ses grands orchestres swing qu'il affectionnait particulièrement. Il savait par ailleurs s'entourer de solistes talentueux tels que Lester Young au saxophone.

Né dans l'Iowa, ce musicien et chef d'orchestre découvre le trombone à l'âge de 11 ans. Il créa un orchestre à la fin des années 30 qui devint célèbre et dont la musique rappelle la Seconde guerre mondiale et notamment la libération. Sa vie fut portée à l'écran en 1953 par Anthony Mann avec James Stewart dans le rôle principal.

Surnommé « The king of swing » par les médias, ce clarinettiste né à Chicago est issu d'une famille nombreuse d'immigrants juifs polonais. Dans les années 30, il devient pionnier de l'intégration raciale en engageant dans son orchestre des musiciens noirs, ce qui était alors illégal dans les états du Sud.

Né en Belgique, ce musicien français est considéré comme le fondateur du jazz gitan ou manouche. Grièvement blessé à la main lors de l'incendie de sa roulotte, il met au point une technique de jeu particulière que beaucoup d'adeptes chercheront à imiter, allant jusqu'à s'entraver les doigts pour approcher la technique de leur idole.

Né au Texas, ce musicien est le plus grand compositeur qu'ait connu le ragtime. En 1898 il publie « Maple leaf rag » qui reste son plus grand succès. Après sa mort, au début du 20ème siècle, le ragtime disparaît peu à peu pour donner naissance au jazz. Cette musique inspira les réalisateurs de films comme « L'arnaque ».

Né en Arizona, ce contrebassiste, chef d'orchestre et compositeur a des origines suédoises, afro-américaines, britanniques et chinoises. Il découvre le jazz grâce à Duke Ellington mais s'intéresse également à des compositeurs comme Stravinsky, Strauss ou Debussy. Ces influences classiques marqueront certaines des ses compositions.

Né en Caroline du Sud, ce génial trompettiste est reconnaissable à son instrument au pavillon incliné vers le haut ainsi qu'à ses joues au volume impressionnant. Ce virtuose intègre l'orchestre de Cab Calloway à la fin des années 30. Avec d'autres musiciens comme Charlie Parker et Thelonious Monk, il contribue à créer un style nouveau  : le be-bop.

Né dans le Mississippi, ce saxophoniste ténor et clarinettiste, surnommé "Prez", est un précurseur du cool jazz. Il joua beaucoup avec la formation de Count Basie. Son célèbre chapeau "Porkpie hat" a inspiré Charles Mingus dans sa composition "Goodbye porkpie hat".