Réponse aux remarques précédentes: je vais peut être me faire taper sur les doigts par les créateurs du site, tant pis!
les professeurs enseignent l'argumentation, la réflexion, l'objectivité mais ils ne peuvent faire des lavages de cerveau. J'avais comme misslu la même opinion qu'à son âge, plus je vais en avant dans la vie, plus je m'y accroche.
Sur ce sujet je débatsen famille, avec les amis,je lis toute la documentation qui passe à portée de main et je suis passionnée par les affaires judiciaires de Seznec à Dominici, de Ranucci à Landru.
Je vais moi aussi conclure: j'ouvre le journal du vendredi 09 juillet et je lis:
des parents sont soupçonnés d'avoirbattu à mort leur bébé de 18 mois.l'autopsie révéle
des fractures des côtes, d'un bras, un hématome au crâne et des traces de cuops plus anciens.Ce sont les pompiers appelés car l'enfant avait perdu connaissance qui se sont rendus compte des marques de maltraitance anciennes...'
L'enfant a eu à peine le temps de découvrir la vie qu'il a souffert sans doute au quotidien. Depuis quand était il malmené, frappé,torturé, rejetté? Sa souffrance secrète, ses pleurs, ses cris ont résonné dans le vide!
Combien d'années de prison vont faire ces parents?
Si la peine de mort existait pour les infanticides, peut-être certains névrosés,pulsionnelshésiteraient à 2 fois avant de frapper leur enfant. Mon propos n'exclut pas les femmes battus, les petits vieux maltraités...mais ce n'est pas grave, il semble que dans cette société où tout va de travers il est préférable d'être coupable que victime et que les vies volées, gachées, pulvérisées par l'envie de gens malades ont peu de poids.
Si les gens avaient la capacité de voir en direct les actes, les agonies peut-être les 'contre la peine de mort' réagiraient-ils, autrement. Mon empathie n'a jamais été de me mettre vers celui qui a le couteau mais vers celui qui le reçoit...
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