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Chapitre 9 : Kiria (la suite)
Musique : Death Note [Ryuk Theme]
Kiria : J'habitais dans une ville.Loins de Magnolia.J'avais...7 ans a l'époque.Mes parents étais marchand , et, travaillaient jusqu'a très tard le soir.Je n'avais pas de soeur,pas de cousine, rien.J'étais fille unique , et mon père et ma mère, enfant unique aussi.Je les attender donc, toute seule, a chaque fois.Mais, il fallait bien que je grandisse.L'hors de mes 9 ans,je commença a demander a ma mère si je pouver aller dehors pour jouer avec mes amis.Ma mère n'accepter jamais, prétextant que si elle avais besoin de mon aide, je serais plus facile a trouver, si je resté a la maison.
Les journée passer, et passer encore.Et je m'ennuyer.Mon père..Mourus..Et cela dévasta ma mère, mais moi, étrangement, je ne pleurais, ni riais..(vous me dirais, ne pas rire : c'est normale, bref)
Quelque années plutard encore, je devais avoir...11 ans.J'avais dit a ma mère: si je pouver aller jouer, que la j'étais grande, que je n'avais rien a craindre.Ma mère répondais toujours par un non catégorique.
Du coup , je me mettais a parlé toute seul, a courire partout sans pouvoir m'arrêter.Et j'arrêté quand j'entendais ma mère rentré.
Mais un soir.
Kiria repris son souffle, puis leva sa tête vers Ota, souriante.
Ma mère est rentré, sans bruit, et dévaster.Je ne l'avais ni vue, ni entendue.Et quand je me retourna, parlant toute seule et sautillant,je vit ma mère, me regardé.C'est yeux exprimé toute la rancoeur qu'elle avais pour moi.
Elle se jeta sur moi, et commença a m'étrangler.Elle me frapper violament.Et elle recommença a m'étrangler, cette fois, encore plus fort.Je fut étais sauver par un couple, qui passer devant la maison, et qui avais vue le vacarne.Le mari, avais défoncer la vitre, et avais stoper ma mère, qui me hurlé dessus ..
Tu n'es qu'une idiote écerveller, c'est toi qui a tuer mon mari, C'EST TOI !! Tu es une folle!!! UNE FOLLE JE TE DIS !!!Tu mérite de crevé , petite poufiasse, CREVEEEEE!!!!!!!
Avais dit-la mère, en lui hurlant de rage dessus.
Ota regarda Kiria, qui lui souriais , Ota se demanda : Comment fait-elle pour ne pas pleuré, ou même, être en colère ?
L'homme avais dû assomer ma mère , et il appella des secours.
Ma mère fut emporté, et mise dans un asile psychiatrique.
L'année de mes 14 ans , 15 ans , et 16 ans, je fut diagnostiquer dépressive et sucidaire sévère.
On m'a alors prescrit des tonne de médicament.
J'ai arrêté aujourd'hui , parce que , vois-tu...Je préfert mourir dans les bras de quelqu'un que j'aime, que se sois en amitié, en fraternité, ou en amour...Et avec le sourire, que de mourir par médicament, et parce que je suis dépressive.
Kiria (souriante) :Voilà, c'étais une annecdote sur moi.Pas très importante je dirais.
Ota ;l'observa les yeux écarquiller.Alors Kiria...Tu n'as pas toujours étais a fille joyeuse que nous connaissont aujourd'hui...?
Pensa Ota.
Ota : Mais tu as rencontré Rapisura?
Kiria : Si, mais elle étais elle aussi enfermé, mais avec ces centaine de servante, et elle avais une salle de jeux gigantesque pour elle seule...Alors bon, elle s'ennuyais que très rarement..
Ota : Je suppose que tu lui en veux ?
Kiria : Je ne lui en est jamais voulue..Pour la simple et bonne raison que je la considère comme ma soeur.De sang, et de coeur.
Elle souria alors.
Ota : Mais, qu'est-ce que sa change ?
Kiria : Cela change que : J'ai tenue le coup grâce a Arukonu.
Ota : Hum...Quoi ?!
Kiria : Ce que personne ne sais, sauf Rapisura, qui l'a découvert quelque temps après, c'est que j'ai rencontré Arukonu grâce au monsieur qui ma sauver.Arukonu se balader avec eux.Mais , j'ai appris quelque années plutard, que cet homme, et cet femme , étais les parent adoptife d'Arukonu.Enfin, c'est compliqué.Bref, on a finis.Quelle leçon t'ai-je appris ?
Ota (réfléchissant) : Hum.....Je dirais..Je sais pas...
Kiria : Que moi, on m'a traité de folle, parce que je m'amuser.Mais que toi, par contre, on ne te traitera jamais de fou parce que tu aime Mirajane.
Sur ces mot, Kiria partie ,sans rien dire.Ota lui, resta, méditant sur ces mot.
Kiria (toujours en avençant) : Si tu compte camper ici, c'est ton choix, mais tu ne mangera pas.
Ota alors partie en courant dans sa direction, et ils rentrèrent.
Fin.
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